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Plantes médicinales utiles contre la maladie de Lyme

Plantes à action antibactérienne et antiparasitaire

Plantes immunostimulantes et adaptogènes

Plantes anti-inflammatoires et antioxydantes (soulagement des symptômes)

  • Curcuma (Curcuma longa) – L’épice jaune est un anti-inflammatoire systémique reconnu. Son principe actif, la curcumine, réduit les inflammations articulaires et neurologiques liées à Lyme. On recommande le curcuma pour atténuer douleurs et raideurs : il agit de façon comparable à un AINS léger, sans les effets secondaires. Pris avec du poivre noir et un corps gras, il améliore le confort des patients atteints d’arthrite de Lyme (Maladie de Lyme – Les réponses naturelles – Alternative Santé).
  • Boswellia (Boswellia serrata) – La résine d’encens indien est utilisée pour ses acides boswelliques aux propriétés anti-inflammatoires puissantes. Buhner la conseille pour les douleurs articulaires de Lyme (Boswellia serrata – Lymeherbs). Le boswellia diminue les gonflements et l’inflammation chronique aussi efficacement que certains AINS, tout en protégeant la muqueuse digestive (Maladie de Lyme – Les réponses naturelles – Alternative Santé). Des compléments de boswellia peuvent ainsi soulager les arthrites et faciliter la régénération des tissus irrités (intestins, articulations) (Maladie de Lyme – Les réponses naturelles – Alternative Santé).
  • Cannelle (Cinnamomum verum) – Épice aux propriétés anti-inflammatoires et antioxydantes. La cannelle est riche en composés phénoliques qui inhibent la production de molécules pro-inflammatoires. En phytothérapie de Lyme, on l’utilise en synergie avec d’autres épices pour réduire le « terrain inflammatoire » général (Maladie de Lyme – Les réponses naturelles – Alternative Santé). De plus, son huile essentielle a montré une puissante action anti-microbienne (active sur certaines formes de Borrelia et co-infections), ce qui en fait un adjuvant intéressant pour à la fois combattre la bactérie et calmer l’inflammation.
  • Gingembre (Zingiber officinale) – Racine épice aux multiples bienfaits : anti-inflammatoire, antioxydant, digestif. Le gingembre peut aider à soulager les douleurs musculaires et articulaires (effet anti-inflammatoire doux similaire à l’aspirine) (Maladie de Lyme – Les réponses naturelles – Alternative Santé). Il améliore également la circulation sanguine, ce qui peut favoriser l’apport des traitements aux tissus affectés. En outre, il soulage les nausées et maux de ventre fréquents dans Lyme (propriétés carminatives), et son huile essentielle a démontré une activité antibactérienne contre les formes persistantes de Borrelia (L’huile essentielle de gousse d’ail est efficace pour combattre la maladie de Lyme – ladepeche.fr).
  • Cassis (Ribes nigrum) – Remède de gemmothérapie très prisé pour son effet cortisone-like naturel. Les bourgeons de cassis sont anti-inflammatoires : ils freinent la production d’histamine et modulent l’immunité, ce qui apaise les symptômes articulaires, cutanés ou allergiques. On le retrouve dans des complexes pour Lyme aux côtés de l’échinacée et de l’astragale (Tout savoir sur la maladie de Lyme, symptômes, traitements). Le cassis aide ainsi à diminuer les douleurs et raideurs articulaires, la fatigue inflammatoire et les réactions excessives du système immunitaire, sans les inconvénients des corticoïdes de synthèse.
  • Harpagophytum (griffe du diable)(Souvent cité par les malades pour les douleurs bien que moins présent dans les sources écrites). Cette racine d’Afrique australe est un antidouleur et anti-inflammatoire articulaire réputé. Elle peut être employée en cas d’arthrite de Lyme pour réduire les douleurs et améliorer la mobilité, en complément des traitements de fond. (À utiliser avec précaution si troubles gastriques).

Plantes drainantes et détoxifiantes (soutien du foie, reins, etc.)

  • Chardon-Marie (Silybum marianum) – Protecteur majeur du foie grâce à la silymarine. En contexte Lyme, le chardon-Marie préserve le foie des toxines de Borrelia et stimule sa régénération cellulaire (Herbiolys | Le saviez-vous ? Maladie de Lyme : 3 plantes pour lutter contre la borréliose). Il agit comme cholagogue (facilite l’élimination de la bile) et antioxydant. Son utilisation au long cours aide à prévenir ou atténuer les réactions d’Herxheimer en facilitant l’évacuation des déchets inflammatoires (9 Plantes à connaitre si vous souffrez de la maladie de Lyme – SociaLyme). C’est une plante clé pour soutenir l’émonctoire hépatique surmené par l’infection et les traitements.
  • Artichaut (Cynara scolymus) – Plante du foie par excellence, l’artichaut stimule la production de bile (effet cholérétique) et son évacuation (effet cholagogue) (9 Plantes à connaitre si vous souffrez de la maladie de Lyme – SociaLyme). Il est aussi diurétique. En clair, il favorise l’élimination des toxines à la fois par le foie (biliaire) et les reins (urines). On l’utilise en phytothérapie de Lyme pour « détoxiquer » l’organisme, surtout en cas de traitements lourds. Ses composés amers soulagent le foie engorgé, améliorent la digestion et peuvent diminuer les nausées et migraines liées à un foie saturé (9 Plantes à connaitre si vous souffrez de la maladie de Lyme – SociaLyme).
  • Pissenlit (Taraxacum officinale) – Excellent draineur hépatique et rénal. Sa racine amère stimule la sécrétion biliaire, régule le transit et augmente la diurèse (9 Plantes à connaitre si vous souffrez de la maladie de Lyme – SociaLyme). Cela aide à évacuer les toxines alimentaires, environnementales et infectieuses stockées dans l’organisme. En maladie de Lyme chronique, le pissenlit est précieux pour « décharger » un foie sursollicité et un intestin encrassé, avec une action douce bien tolérée même par les personnes très sensibles (Mes 5 plantes médicinales préférées pour la maladie de Lyme – Anne Vastel) (Mes 5 plantes médicinales préférées pour la maladie de Lyme – Anne Vastel). Il contribue ainsi à réduire le brouillard toxique responsable de la fatigue et des douleurs.
  • Desmodium (Desmodium adscendens) – Plante africaine hépatoprotectrice renommée (souvent utilisée dans les hépatites). En soutien de Lyme, le desmodium aide à régénérer le foie et améliorer ses fonctions d’élimination (Maladie de Lyme : quels sont les aides naturelles ? | Soriavie). Il favorise la dégradation des toxines et médicaments par le foie et protège les cellules hépatiques. On l’emploie en cure lors des traitements antibiotique ou en cas de foie fragile (enzymes hépatiques élevées) pour prévenir une hépatite médicamenteuse.
  • Camomille romaine (Chamaemelum nobile) – En plus de ses vertus calmantes, la petite camomille est dépurative et cholagogue. Elle figure parmi les plantes conseillées pour drainer le foie et la vésicule (Maladie de Lyme : quels sont les aides naturelles ? | Soriavie). La camomille romaine facilite la digestion, diminue les spasmes intestinaux et soutient indirectement l’immunité (via l’intestin). Son effet anti-inflammatoire aide aussi en cas de congestion du foie ou d’allergies (terrain fréquent chez les « Lymés »).
  • Romarin (Rosmarinus officinalis) – Tonique général et draineur du foie et des reins. Le romarin est hépatoprotecteur, cholérétique et diurétique, il stimule l’élimination des déchets métaboliques (Maladie de Lyme : quels sont les aides naturelles ? | Soriavie). Riche en antioxydants, il soutient aussi les défenses et atténue la fatigue cérébrale (brouillard mental). En cure, il peut améliorer la clairvoyance mentale des patients et contribuer à l’élimination de neurotoxines. Le romarin est souvent associé au chardon-Marie, pissenlit ou artichaut pour un effet « détox » global.
  • Bardane (Arctium lappa) – Grande plante dépurative de la tradition européenne. La racine de bardane draine les émonctoires et purifie le sang. En Lyme, on la retient surtout pour la peau et les articulations : elle aide à éliminer les déchets acides et toxines microbiennes qui encrassent ces tissus, réduisant ainsi l’inflammation cutanée (acné, éruptions) et articulaire. Christophe Bernard recommande la bardane en soutien des reins et du foie aux côtés du pissenlit et du romarin (Lyme chronique : bilan de mes années de pratique). C’est un allié de long terme pour assainir le terrain.
  • Ortie (Urtica dioica) – Plante sauvage nutritive et dépurative. Les feuilles d’ortie sont riches en minéraux et favorisent l’élimination rénale des déchets (Mes 5 plantes médicinales préférées pour la maladie de Lyme – Anne Vastel). En soutien de Lyme, l’ortie agit comme tonique des reins (premiers organes infectés par Borrelia via la circulation sanguine) (Mes 5 plantes médicinales préférées pour la maladie de Lyme – Anne Vastel). En protégeant les reins, on limite la dissémination de la bactérie et on aide à filtrer les toxines circulantes issues des bactéries détruites. L’ortie contribue ainsi à réduire les réactions d’Herxheimer en accélérant l’évacuation des toxines inflammatoires (Mes 5 plantes médicinales préférées pour la maladie de Lyme – Anne Vastel). De plus, sa richesse nutritive redonne de la vitalité aux organismes affaiblis.
  • Salsepareille (Smilax aspera) – Liane dépurative utilisée traditionnellement contre les maladies de peau et les rhumatismes. La salsepareille est un excellent draineur sanguin et lymphatique : diurétique, sudorifique, elle « nettoie » l’organisme en profondeur (9 Plantes à connaitre si vous souffrez de la maladie de Lyme – SociaLyme). Ses saponines stéroïdiques ont la capacité de lier et éliminer les endotoxines bactériennes dans l’intestin, empêchant leur passage dans le sang (9 Plantes à connaitre si vous souffrez de la maladie de Lyme – SociaLyme). On pense que grâce à cela, la salsepareille atténue les poussées inflammatoires et les Herxheimer en cas de Lyme (9 Plantes à connaitre si vous souffrez de la maladie de Lyme – SociaLyme). Elle aide aussi à soulager des symptômes auto-immuns (arthrite, psoriasis) déclenchés ou aggravés par la borréliose.

Autres remèdes à base de plantes souvent cités

  • Extrait de pépins de pamplemousse – Ce désinfectant naturel, riche en bioflavonoïdes, est souvent proposé en début de traitement Lyme pour son action antibactérienne à large spectre. Le Pr. Perronne le cite comme produit dont les propriétés anti-infectieuses ont été démontrées en laboratoire (Maladie de Lyme : quels sont les traitements naturels ? | Santé Magazine). On le prend généralement en gouttes. N.B. : Une étude de 2020 a toutefois remis en question son efficacité directe contre Borrelia (Maladie de Lyme : quels sont les traitements naturels ? | Santé Magazine) – l’extrait de pépins de pamplemousse n’a pas inhibé la bactérie in vitro, ce qui suggère qu’il pourrait surtout agir en soutien (assainir le microbiote, empêcher les surinfections) plutôt qu’éliminer Lyme seul.
  • Stévia (Stevia rebaudiana) – Édulcorant naturel qui a fait parler de lui dans la communauté Lyme. Une étude in vitro de 2015 (Pr. Eva Sapi) avait suggéré qu’un extrait de stévia pouvait tuer les formes persistantes de Borrelia, ce qui a popularisé son usage chez certains malades (teintures de stévia prises en gouttes quotidiennes). Cependant, des tests plus rigoureux n’ont pas confirmé cet espoir : en 2020, la stévia s’est montrée inefficace pour éliminer Borrelia en culture (Maladie de Lyme : quels sont les traitements naturels ? | Santé Magazine). Malgré ce résultat, quelques personnes continuent de l’utiliser empiriquement, mais sans preuve solide, son intérêt semble limité comparé aux autres plantes citées.
  • Ginkgo biloba – Arbre médicinal aux feuilles vasodilatatrices et antioxydantes. Le ginkgo est mentionné par certains experts Lyme pour améliorer la microcirculation et la cognition des patients. Plus surprenant, il possède aussi des composés aux effets antibactériens documentés : le Pr. Perronne note que les feuilles de ginkgo ont montré une activité anti-infectieuse en laboratoire (Maladie de Lyme : quels sont les traitements naturels ? | Santé Magazine). En pratique, le ginkgo pourrait aider à mieux irriguer les tissus (cerveau, articulations) et à y acheminer les traitements, tout en protégeant contre le stress oxydatif induit par l’infection. Il se prend en extrait standardisé (EGb761) sur plusieurs mois pour en ressentir les bienfaits.
  • Protocoles d’extraits de plantes complexes – Enfin, il existe des protocoles commerciaux combinant plusieurs extraits végétaux qui sont fréquemment discutés sur Internet par les malades de Lyme. Par exemple, le protocole Cowden (gamme Nutramedix) utilise des teintures spécifiques comme Banderol (écorce d’Otoba parvifolia), Cumanda (écorce de Campsiandra), Enula (Inule), Samento (griffe du chat), Burbur (feuilles de Desmodium) etc., prises en rotation. De même, le protocole Byron White ou le protocole Zhang (médecin chinois) emploient des formules à base de multiples plantes et champignons. Ces approches cherchent à couvrir tous les aspects de la maladie (antimicrobien, immunité, détox) en combinant de nombreuses plantes à doses modérées. Leur efficacité varie selon les individus, mais ils témoignent de la richesse des pistes phytothérapeutiques explorées face à la maladie de Lyme.

Suggestion d’un séjour par des ami(e)s

Super projet de voyage ! Voici un itinéraire cohérent, optimisé géographiquement et par saisons pour profiter au mieux de chaque destination. On va alterner un peu entre plages, villes, nature et culture pour garder un bon équilibre.


🔥 PARCOURS RECOMMANDÉ (4 à 8 semaines selon ton rythme)

Étape 1 – Europe du Sud (début de printemps ou automne)

  1. Azay-le-Rideau (France) – Découvre le château, un bijou de la Renaissance – idéal pour commencer en douceur.
  2. Madrid (Espagne) – Enchaîne avec 2-3 jours de visite culturelle et tapas.
  3. Barcelone (Espagne) – 2-3 jours pour la Sagrada Familia, la plage, les Ramblas.
  4. Malaga (Espagne) – Détente au soleil, ambiance andalouse et musée Picasso.
  5. Lanzarote (Canaries) – 4 à 5 jours de paysages volcaniques, plages et vin local. Accessible depuis l’Espagne facilement.
  6. Corse (France) – Rando, plages et villages perchés. L’idéal pour terminer la phase « Méditerranée ».

Étape 2 – Croisière Antilles (début hiver ou fin d’automne)

  1. Croisière cocktail aux Antilles – 1 à 2 semaines. Départ possible de Pointe-à-Pitre ou Fort-de-France. Visite de plusieurs îles, ambiance festive, rhum et farniente !

Étape 3 – Grand Nord (été ou fin printemps)

  1. Harstad (Norvège) – Idéal entre mai et juillet pour les fjords et le soleil de minuit. Calme et nature à l’état pur.

Étape 4 – Asie (automne/hiver recommandé)

  1. Vietnam Nord (Hanoï, Baie d’Halong, Sapa) – 5 à 7 jours. Parfait entre octobre et mars.
  2. Séjour intime au Vietnam (4 jours) – Complément plus calme, peut-être dans le delta du Mékong ou un resort à Ninh Binh ?
  3. Sri Lanka – Termine ton aventure avec ce joyau indien : temples, plages, plantations de thé. Compte 7 à 10 jours.

✈️ Itinéraire logique par vols

  • Europe (France/Espagne/Corse)
    → Vol vers Lanzarote
    → Vol vers Antilles (croisière)
    → Vol vers Harstad (via Oslo ou Tromsø)
    → Vol vers Vietnam (via Oslo ou Paris)
    Vietnam puis Sri Lanka
    → Retour en France ou ailleurs

🧭 Astuce : Combien de temps prévoir ?

  • 🏰 Europe (France/Espagne/Corse) : 2 à 3 semaines
  • 🚢 Antilles : 1 à 2 semaines
  • ❄️ Harstad : 3 à 5 jours
  • 🌿 Asie (Vietnam + Sri Lanka) : 2 à 3 semaines

Portes des étoiles ?

Anciennes portes des étoiles dispersées sur Terre, découvertes au début du 20e siècle sur divers continents.

Un artefact disparu, un mystère cosmique. En 1903, la porte étoile a été déterrée à Samarkand, en Ouzbékistan, pour disparaître sans laisser de trace. Couvert de sculptures en forme d’étoile et de symboles mystérieux, certains croyaient que c’était lié à l’astronomie ancienne, tandis que d’autres murmuraient des origines extraterrestres.

Tonnerre et la Fosse Dionne : Un Voyage au Cœur du Mystère et de la Beauté

C’est avec une joie immense et un enthousiasme débordant que je vous invite à découvrir avec moi ce village à la beauté incomparable.
Tonnerre, cette petite perle nichée dans le département de l’Yonne, en Bourgogne-Franche-Comté, est un véritable trésor où l’histoire se mêle à des paysages à couper le souffle. Et parmi ses merveilles, impossible de ne pas évoquer la Fosse Dionne, une source d’une beauté hypnotisante qui fascine les visiteurs depuis des siècles.

La Fosse Dionne, cette source karstique d’une couleur bleu profond, entourée d’un bassin circulaire d’une pureté envoûtante, semble tout droit sortie des pages d’un conte magique. Ce lieu est baigné d’une atmosphère presque mystique, qui nourrit des légendes anciennes et mystérieuses. Remaniée au XVIIIe siècle pour devenir un lavoir, la Fosse Dionne est une œuvre d’art alliant fonctionnalité et splendeur architecturale. Son eau, d’une clarté fascinante, surgit avec une constance incroyable à 12 degrés, pour alimenter ce bassin qui tourbillonne dans un spectacle de toute beauté.

C’est une source qui a toujours suscité l’émerveillement et les spéculations. On raconte que, dès l’époque des Celtes, ce lieu était vénéré comme sacré. Aujourd’hui encore, des explorations sous-marines révèlent un réseau souterrain complexe et mystérieux, encore largement inexploré, ajoutant au mystère de cet endroit envoûtant. Une fois la Fosse Dionne admirée, n’hésitez pas à flâner dans les ruelles pittoresques de Tonnerre, découvrir son église gothique Saint-Pierre et l’Hôtel-Dieu, un des plus anciens hôpitaux de France, datant du XIIIe siècle.

Tonnerre, avec sa Fosse Dionne, offre une immersion totale dans un univers où l’histoire, le mystère et la beauté naturelle s’entrelacent avec harmonie. C’est un lieu qui invite à la découverte, à la contemplation, et qui envoûte tous ceux qui s’y attardent. Si vous aimez les légendes, le patrimoine et les paysages hors du commun, Tonnerre est une escale incontournable en Bourgogne. La Fosse Dionne, merveille naturelle, continue de captiver et d’inspirer tous ceux qui ont la chance d’y poser les yeux.

Les sphères géantes en bosnie

Cette sphère géante en pierre de 60 tonnes a été découverte en Bosnie en 2016. Il semblerait qu’il y ait eu plus de 80 de ces sphères, mais la plupart ont été détruites lorsque des rumeurs ont commencé à circuler parmi les habitants, selon lesquelles de l’or était caché à l’intérieur.

Aujourd’hui, il n’en reste plus que huit (bien qu’il y en ait probablement plus de cachées), la dernière étant la plus grande jamais trouvée. La couleur brune et rouge de la sphère peut indiquer une forte teneur en fer.

Selon l’archéologue Semir Osmanagich, cette « sphère » a été fabriquée par une civilisation inconnue vivant dans la région il y a plus de 1 000 ans. D’autres archéologues ne sont pas d’accord. Selon d’autres spécialistes, il s’agit en fait d’une roche sphérique naturelle appelée concrétion. De nombreuses concrétions sont riches en fer et prennent donc un aspect rougeâtre.

Il existe d’autres roches parfaitement sphériques dans le monde. Certaines, comme celles d’Amérique centrale, présentent des signes évidents de travail par l’homme et sont donc définitivement « artificielles ». D’autres sphères, comme celles trouvées en Bosnie ou en Nouvelle-Zélande, ne présentent aucun signe visible d' »outils humains ». C’est pourquoi elles sont considérées comme étant d’origine naturelle. Mais en toute honnêteté, même les géologues ne sont pas en mesure d’expliquer comment un processus naturel peut conduire à la formation d’une « sphère parfaite ». La polémique continue donc. Naturelle ou artificielle ?

Une chose est sûre. Avant le dernier dégel, la moitié de la mer Adriatique était une immense plaine, certainement habitée par l’homme. Il est donc naturel que sous la mer, ou sous des mètres de boue sur le continent, se trouvent les vestiges d’anciens établissements humains qui n’ont jamais été pris en compte. Quel niveau de civilisation avaient-ils atteint ?

L’article se poursuit dans le livre :

Homo Reloaded – L’histoire cachée des 75 000 dernières années

Vous pouvez trouver une copie du livre à ce lien

Saviez-vous que les égyptiens parlent encore en hiéroglyphique aujourd’hui ?

Les mots pharaoniques sont encore utilisés.

Ce n’est pas une rumeur ou une blague, c’est un fait. Les Égyptiens parlent encore l’ancienne langue égyptienne, métaphoriquement connue sous le nom de hiéroglyphes, bien que les hiéroglyphes soient un scénario et non une langue, et le vocabulaire de l’Égypte ancienne est devenu partie de leur dialecte familier, transmis de génération en génération.

Les mots que les Égyptiens parlent dans leur dialecte familier sont des mots anciens qui ont été utilisés par les pharaons de l’Égypte ancienne, où ils sont apparus pour la première fois dans un manuscrit officiel entre 3300 av. JC et 3200 av. JC, et ont été appelés hiéroglyphes parce qu’en grec ils signifient « inscription sacrée » et les symboles étaient utilisés en eux pour exprimer des vœux.

À l’époque des pharaons, les hiéroglyphes servaient à graver et décorer des textes religieux et sont restés une langue écrite commune jusqu’au 4ème siècle après JC, quand ils furent déchiffrés à l’aide de la découverte archéologique de la pierre de Rosette par le Français Champollion.

Les mots que les Égyptiens utilisent encore aujourd’hui sans savoir qu’ils ont d’anciennes origines égyptiennes sont nombreux et variés, comme « mm » qui signifie manger et manger. « Embu » signifie boire, et en Haute-Égypte on dit « Tah Yabui », et « Tah » vient de l’ancien mot égyptien « Etah », qui signifie tirer ou tirer, et « Rooh Tuff and Nuff est loin », et « Tah » est le son du crachat et « Naf » est le son de la muqueuse nasale.

Le mot « kakha » signifie saleté, le mot « tata tata » est dans les hiéroglyphes « pour marcher », et le mot coco, tiré du mot bobo, est le nom d’un démon égyptien utilisé pour effrayer les enfants.

Il existe des termes populaires comme le mot « shabab » dont l’origine est sab swaib, qui signifie la mesure d’un pied, et le mot « mudammes » signifie haricots cuits au four, et son origine remonte au mot hiéroglyphe « muttamus », qui signifie mûrir les grains en les enterrant dans la terre.

En saison hivernale, les Égyptiens disent : « Pluie, Rakhi, Rakhi », et le mot « Rakhi » est un hiéroglyphe qui signifie « bas ». Il y a d’autres mots qui circulent qui sont à l’origine des hiéroglyphes, comme le mot « . Nono, qui signifie nouveau-né, et « Mahkah », qui signifie « un vieil homme aux cheveux gris ». « Battah » signifie le frapper à la tête et faire une prise de sang.

Parmi les mots que les Égyptiens utilisent jusqu’à présent figurent le mot « Tansh », ce qui signifie qu’il n’a pas répondu, « Sitt », ce qui signifie femme, « Kham », ce qui signifie « Yama », ce qui signifie beaucoup « opprimés ». , ce qui signifie tristesse, « obsession » et « Dosha » signifie bruit et son fort, « Karkar » signifie beaucoup de rires et « Kani et Mani » signifie lait et miel dans les hiéroglyphes.

Les Dogons : Spécialistes en astronomie et gardiens de la sagesse stellaire

Imaginez un peuple niché dans les falaises de Bandiagara, au Mali, qui depuis des siècles déchiffre les mystères des cieux. Les Dogons, à la fois poètes et scientifiques, étonnent par leur maîtrise de l’astronomie, acquise bien avant l’invention des télescopes modernes. Leurs villages, perchés comme des nids d’aigles, sont les gardiens d’une tradition orale fascinante, où le ciel nocturne devient une toile riche en mythes et en connaissances scientifiques. Qui sont-ils ? Comment un peuple isolé a-t-il pu acquérir une telle précision astronomique ? Plongeons dans cet univers entre mythe et science.


Origines et territoire : un lien entre ciel et terre

Le peuple Dogon, composé d’environ 300 000 âmes, habite principalement l’escarpement de Bandiagara, un paysage spectaculaire inscrit au patrimoine mondial de l’UNESCO. Leur migration vers cette région remonte à plusieurs siècles, mais leur origine reste enveloppée de mystère. Certains chercheurs suggèrent des racines dans l’ancien empire égyptien, établant un lien possible avec les civilisations antiques fascinées par les étoiles.

Chaque village Dogon, comptant en moyenne 500 habitants, est une communauté où l’organisation sociale reflète une harmonie entre l’homme et la nature. Cette harmonie est également présente dans leur cosmologie, un système de croyances complexe liant l’univers visible et invisible.


Une cosmologie unique : les Nommo, messagers des cieux

Selon la tradition orale, les Dogons auraient reçu la visite d’êtres mystiques nommés Nommo. Ces créatures amphibies, venues du système stellaire Sirius, auraient transmis aux Dogons une connaissance avancée de l’astronomie, de la philosophie et de la spiritualité. Les Nommo sont décrits comme des êtres bienveillants, porteurs d’équilibre et d’harmonie.

Mais les Dogons ne se contentent pas de récits mystiques. Leur cosmologie regorge de symboles et de rituels qui traduisent une profonde compréhension de l’univers. Les masques rituels, par exemple, représentent souvent des concepts astronomiques, liant ainsi l’art et la science.


Sirius A et B : une précision scientifique stupéfiante

Ce qui intrigue le plus les scientifiques modernes, c’est la connaissance des Dogons concernant le système stellaire de Sirius. Ils décrivent Sirius A, l’étoile la plus brillante du ciel nocturne, et son étoile compagne, Sirius B, invisible à l’œil nu. Selon eux, Sirius B effectue une révolution autour de Sirius A en 50 ans. Cette information, confirmée par les astronomes grâce à des instruments modernes, était pourtant connue des Dogons depuis des siècles.

Comment un peuple sans technologie avancée a-t-il pu acquérir une telle précision ? Les théories abondent. Certains y voient la transmission d’une connaissance empirique à travers des millénaires, tandis que d’autres suggèrent des influences extérieures, voire extraterrestres. Quoi qu’il en soit, cette prouesse témoigne d’une observation minutieuse et d’une transmission orale exceptionnelle.


Une science intuitive et révélée

Outre Sirius, les Dogons possèdent une connaissance étonnante des mouvements planétaires, des cycles lunaires et des éclipses. Leur calendrier agricole repose sur des observations astronomiques précises, qui guident les semailles et les récoltes. Cette maîtrise des cycles naturels montre que leur science est à la fois pratique et spirituelle.

Leur savoir, transmis de génération en génération, repose sur une méthodologie complexe de mémorisation et de récitation. Les prêtres et les sages jouent un rôle central dans la préservation de cette connaissance, agissant comme des bibliothèques vivantes.


Entre mythologie et réalité : une symbiose fascinante

L’étude de la cosmologie Dogon soulève une question essentielle : où se situe la frontière entre mythe et réalité ? Leur vision du monde, bien que teintée de mysticisme, repose sur des faits vérifiables. Ce mélange de spiritualité et de science reflète une sagesse universelle, où le rationnel et l’irrationnel se complètent plutôt que de s’opposer.

Leur résilience culturelle est remarquable, car ils sont capables de préserver leur identité face à la modernité. Leur savoir n’est pas qu’une prouesse scientifique ; c’est une manière de définir leur place dans l’univers.


Une leçon pour notre époque

Dans un monde où la science et la technologie dominent, les Dogons nous rappellent l’importance de l’équilibre. Leur vision holistique de l’univers nous invite à réévaluer notre propre relation au cosmos. Leur histoire montre que la connaissance n’est pas l’apanage des instruments modernes ; elle peut naître de l’observation, de l’introspection et de la transmission orale.

Les Dogons, avec leur sagesse millénaire, incarnent une étoile qui continue de briller, non seulement dans le ciel nocturne mais aussi dans nos esprits. Leur histoire nous incite à lever les yeux vers les étoiles tout en gardant les pieds sur terre.


Conclusion : Une énigme à résonance universelle

Et si les Dogons n’étaient pas les seuls gardiens d’un tel savoir ? Leur histoire soulève une question fascinante : peut-on établir un parallèle entre eux et d’autres peuples mystérieux, comme ceux qui ont érigé les alignements mégalithiques de Carnac en Bretagne ? Là-bas, des milliers de pierres dressées semblent dialoguer avec le ciel, tout comme les récits Dogons connectent la terre et les étoiles.

Ces deux civilisations, séparées par des milliers de kilomètres et des contextes culturels très différents, auraient-elles puisé dans une source commune de connaissance ? Ou bien leur savoir astronomique, apparemment sans lien, témoigne-t-il d’une universalité des interrogations humaines face au cosmos ? Peut-être qu’en étudiant les pierres de Carnac et les mythes Dogons, nous découvrirons une histoire plus vaste, celle d’une humanité unie dans sa quête pour comprendre les mystères de l’univers.

Ancien Empire d’Égypte

L’Ancien Empire d’Égypte, qui a fait étalage de sa puissance de 2686 à 2181 avant J.-C., n’est rien de moins qu’une révolution culturelle.

C’est l’âge d’or où les IIIe à VIe dynasties règnent en maître, déclenchant une vague d’audace dans la sculpture, la construction et la taille qui nous étonne encore.

Et parlons de cette extraordinaire barque solaire découverte près de la Grande Pyramide de Gizeh. Il ne s’agit pas d’un simple objet ancien, mais d’un élément essentiel des rituels funéraires des pharaons, destiné à transporter leurs âmes dans l’au-delà. Un témoignage extraordinaire de leurs croyances et une démonstration indéniable de leur génie artistique !

L’Ancien Empire ne s’est pas contenté de prospérer, il a éclaté sur la scène avec une vie vibrante et un artisanat stupéfiant qui défie les âges.

Têtes géantes sur l’île de Pâques

Les archéologues soupçonnent depuis longtemps que certaines des « têtes » de l’île de Pâques avaient un corps enterré. En même temps, les « têtes géantes », de plusieurs mètres de haut, étaient considérées comme une exception. En fait, si ces têtes avaient un corps sous-jacent, elles auraient dû être de vrais géants de pierre, d’au moins 20 mètres de haut, pour atteindre les proportions.

Des fouilles récentes ont montré que les « têtes géantes » sur l’île de Pâques sont en fait enterrées des « géants de pierre » dont les têtes sont sorties de la terre.. Comment les statues pesant plusieurs tonnes ont-elles fini par atteindre près de 20 mètres de profondeur ? S’ils l’ont fait exprès, comment ont-ils réussi à le faire sans les casser ? L’île de Pâques est un peu plus qu’une petite île. Où ont-ils trouvé la main-d’œuvre pour enterrer des dizaines et des dizaines de « géants de pierre » au milieu de l’océan ? Questions sans réponses.

Les Égyptiens ont pu faire des choses similaires, mais ils avaient la main-d’œuvre d’un empire à leur disposition. Quelle main-d’œuvre les insulaires de la minuscule île de Pâques avaient-ils à leur disposition ? La même chose est arrivée à Nan Madol. Un peuple mystérieux a construit une métropole sur une petite île au milieu de l’océan. Bien sûr, c’est possible de faire ça. Mais à condition que vous ayez les effectifs d’un empire. Mais quelle main d’œuvre était disponible sur une île totalement isolée au milieu de l’océan Pacifique ?

La même chose s’est passée à la frontière entre la Turquie et la Syrie. Tout un complexe mégalithique a été complètement enterré, personne ne sait par qui, personne ne sait pourquoi. Ce site a été appelé « Göbekli Tepe », signifiant « la colline du ventre. Mais sous cette colline se trouve l’un des mystères les plus profonds de l’humanité. Des études récentes avec des géoradars ont révélé qu’il y a des dizaines de sites semblables à Göbekli Tepe « enterré » de nombreux mètres de profondeur. Était-ce une civilisation inconnue pour nous qui a disparu plus tard à cause d’un cataclysme naturel ? Ou quoi ?

Plusieurs articles scientifiques paraissant dans la célèbre revue scientifique Nature nous disent qu’il y a plus de 10 000 ans une série de comètes a traversé l’atmosphère terrestre, se brisant en milliers de morceaux. La Terre a été frappée par un véritable bombardement de fragments qui a frappé au moins quatre continents. Plus rien n’était comme avant. Il y avait une vraie « Apocalypse » dans la préhistoire, qui a anéanti un nombre inconnu d' »homo sapiens. « Les ruines de l’île de Pâques correspondent-elles à celles de Göbekli Tepe ?

L’article continue dans le livre :

HOMO RELOADED – L’histoire cachée des 75 000 dernières années.

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Le Musée des Confluences : Une Porte d’Entrée Vers le Savoir

Situé à la pointe de la presqu’île lyonnaise, là où le Rhône et la Saône se rejoignent, le Musée des Confluences se dresse comme une prouesse architecturale et un centre névralgique de la culture et du savoir. Inauguré en 2014 et conçu par le cabinet d’architectes autrichien Coop Himmelb(l)au, ce musée n’est pas seulement un lieu d’exposition, mais un espace où les visiteurs sont invités à explorer les multiples facettes de l’humanité et de la science.

Un Design Visionnaire pour une Expérience Unique

La conception du Musée des Confluences repose sur une idée maîtresse : faciliter le flux des visiteurs de la ville vers le musée tout en créant un espace public ouvert et accessible. Coop Himmelb(l)au a ainsi imaginé un bâtiment qui ne serait pas un obstacle mais une invitation à la découverte. Le résultat est une structure partiellement en suspension, soutenue par des piliers, permettant ainsi de libérer l’espace au sol et d’offrir un vaste espace public en dessous.

L’architecture du musée se distingue par son caractère hybride, combinant des géométries modernes avec des formes organiques. La partie supérieure du bâtiment, baptisée le « Cristal », s’élève vers la ville et sert de forum urbain et de hall d’entrée pour les visiteurs. En contraste, la masse principale, surnommée le « Nuage », est une structure fluide et dynamique qui abrite les expositions. Ce nuage symbolise la connaissance en perpétuelle transformation, un espace doux et modulable reflétant la complexité et la diversité du savoir.

Une Exploration des Sciences et de l’Anthropologie

Le Musée des Confluences se présente comme un musée de sciences et d’anthropologie, explorant les origines de la vie, les cultures humaines et les enjeux contemporains. Ses expositions permanentes et temporaires couvrent une variété de thèmes, allant de l’évolution de l’humanité à la biodiversité, en passant par les innovations technologiques et les questions environnementales.

Les visiteurs peuvent ainsi découvrir de rares objets fascinants, issus des collections de sciences naturelles, d’ethnographie, de sciences et techniques. Parmi les pièces maîtresses, on trouve des fossiles de dinosaures, des spécimens zoologiques, des artefacts ethnographiques, et bien plus encore. Chaque exposition est conçue pour stimuler la curiosité et encourager une réflexion profonde sur notre monde et notre place en son sein.

Un Bâtiment Conçu pour le Savoir et l’Échange

Le Musée des Confluences se veut un lieu de transmission de savoir, accessible à tous. Pour atteindre cet objectif, Coop Himmelb(l)au a conçu un nouveau format architectural en accord avec les objectifs du projet. Le bâtiment est conçu non seulement pour abriter des expositions mais aussi pour être un espace de rencontre et d’échange.

Les visiteurs peuvent circuler librement à travers le musée, profitant des nombreux espaces ouverts et des vues panoramiques sur la ville et les fleuves environnants. Le Cristal, avec ses façades vitrées, offre un éclairage naturel généreux et crée une ambiance accueillante et inspirante. Le Nuage, quant à lui, abrite des espaces d’exposition modulables, permettant une grande flexibilité dans la présentation des collections et des expositions temporaires.

Une Expérience Immersive et Éducative

Le Musée des Confluences ne se contente pas d’exposer des objets ; il propose une véritable expérience immersive et interactive. Les visiteurs peuvent participer à des ateliers, assister à des conférences, et explorer des installations interactives qui rendent l’apprentissage ludique et engageant.

Des parcours thématiques sont également proposés pour permettre aux visiteurs de découvrir le musée selon leurs centres d’intérêt. Que ce soit en famille, entre amis, ou en solo, chaque visite est unique et enrichissante. Le musée organise également des événements spéciaux tout au long de l’année, tels que des nuits des musées, des spectacles et des performances artistiques, renforçant ainsi son rôle de lieu de vie culturelle et sociale.

Un Lieu Ouvert sur la Ville et le Monde

En plus de son rôle éducatif, le Musée des Confluences est un symbole de l’ouverture de Lyon sur le monde. Sa position stratégique à la confluence du Rhône et de la Saône en fait un point de rencontre entre différentes cultures et influences. Le musée participe activement à la vie culturelle de la ville et entretient des partenariats avec des institutions internationales, contribuant ainsi au rayonnement de Lyon à l’échelle mondiale.

Le musée est aussi un acteur important du développement durable. Sa conception architecturale intègre des solutions écologiques, telles que l’utilisation de matériaux durables et l’optimisation de l’efficacité énergétique. Le musée s’engage également à sensibiliser ses visiteurs aux enjeux environnementaux à travers ses expositions et ses programmes éducatifs.

Planifier Votre Visite

Pour profiter pleinement de votre visite au Musée des Confluences, voici quelques conseils pratiques :

  • Horaires d’ouverture : Le musée est ouvert tous les jours sauf le lundi. Les horaires peuvent varier selon les saisons, il est donc recommandé de vérifier sur le site officiel avant de planifier votre visite.
  • Billetterie : Vous pouvez acheter vos billets en ligne pour éviter les files d’attente. Le musée propose également des tarifs réduits pour les étudiants, les seniors, et les groupes.
  • Accès : Le musée est facilement accessible en transport en commun, avec plusieurs lignes de bus et de tramway à proximité. Un parking est également disponible pour les visiteurs en voiture.
  • Services sur place : Le musée dispose d’un café-restaurant offrant une vue panoramique sur la confluence, ainsi que d’une boutique proposant une sélection de livres, souvenirs et objets design.

Conclusion

Le Musée des Confluences est bien plus qu’un simple musée ; c’est un voyage à travers le temps et l’espace, une exploration des mystères de la vie et de l’humanité. Son architecture audacieuse et son approche innovante de la muséologie en font un lieu incontournable pour quiconque s’intéresse à la science, à l’anthropologie, ou simplement à la découverte du monde qui nous entoure.

Que vous soyez un passionné de sciences, un amateur d’art, ou simplement en quête d’une expérience culturelle enrichissante, le Musée des Confluences saura éveiller votre curiosité et vous inspirer. Ne manquez pas l’occasion de visiter ce joyau architectural et de plonger dans l’univers fascinant qu’il propose.

En résumé, le Musée des Confluences de Lyon est un symbole de la rencontre des savoirs et des cultures, un lieu où chacun peut trouver matière à réflexion et à émerveillement. Sa conception unique et ses expositions captivantes en font une destination incontournable pour les amateurs de culture et de science. Alors, laissez-vous porter par le flux des connaissances et venez explorer ce musée extraordinaire, véritable porte d’entrée vers le savoir.