Envie de comprendre l’IA autrement ? Le blog l’intelligence artificielle autrement (co‑ia.fr), porté par Boris Lejude, est un véritable passe‑port pour explorer l’intelligence artificielle sous tous ses angles – pédagogie, éthique, géopolitique, agriculture durable, santé, histoire et même création artistique.
🧭 Ce que vous y trouverez
1. Des réflexions équilibrées et accessibles
Plongez dans des articles comme « IA : eldorado ou catastrophe pour la formation ? », qui n’hésitent pas à questionner les promesses de l’IA dans l’éducation, au-delà de sa « lune de miel » (co-ia.fr).
2. Des questions fondamentales
Explorez des contenus riches tels que « L’IA a‑t‑elle une morale ? » ou « Quel est le véritable intérêt pour l’humanité ? », qui confrontent les implications éthiques et humaines de cette technologie (co-ia.fr).
3. Un regard sur la géopolitique
« L’intelligence artificielle redéfinit‑elle la géopolitique mondiale ? » décortique la manière dont l’IA façonne les rapports de force internationaux, entre technologies de surveillance, suprématie numérique et souveraineté stratégique .
4. La dimension durable
Découvrez le billet « L’IA : une révolution verte pour une agriculture durable ? », un excellent exemple de l’intersection entre innovation technologique et préservation écologique (co-ia.fr).
5. Du divertissement… instructif !
Avec des articles ludiques comme « Le lapin », où Boris questionne ChatGPT à propos d’un plat traditionnel (le civet), on illustre l’usage créatif et didactique de l’IA (co-ia.fr).
6. Une vaste fresque historique
La section Chronologie – Histoire retrace les grandes étapes de l’IA, de la conférence de Dartmouth (1956) à Deep Blue, en passant par ELIZA, WABOT, backpropagation ou les voitures autonomes de Stanford (co-ia.fr).
Pourquoi vous y plonger ?
🎯 Un équilibre rare entre vulgarisation pointue et analyse critique.
👥 Un ton humain et accessible : articles clairs, anecdotes, discussion bienveillante.
💡 Des pistes pour agir : adhérez au groupe WhatsApp pour échanger, partager ou débattre (co-ia.fr).
Verdict
Étudiant·e, professionnel·le, amateur·rice d’IA curieux·se ou simple citoyen·ne : vous repartirez du blog avec bien plus que des notions techniques. Vous aurez une vision élargie, enrichie et surtout interrogative de l’IA dans notre société.
Alors, prêt·e à vous embarquer ? Visitez co‑ia.fr, laissez-vous surprendre, questionnez, dialoguez… et rejoignez la communauté d’esprits éclairés qui réfléchissent, ensemble, à ce que signifie vivre avec l’intelligence artificielle.
Voici un article complet pour présenter EvolueSecure, le blog francophone incontournable pour apprendre la sécurité numérique !
🔐 Présentation d’EvolueSecure
EvolueSecure (evoluesecure.com) est un blog pédagogique et accessible, mené par Boris Lejude, qui propose une découverte progressive des enjeux et bonnes pratiques de la cybersécurité. Son objectif ? Éduquer le grand public, les débutants et les curieux aux risques numériques, de manière claire, concrète et souvent ludique.
🧩 Une offre de contenu riche et variée
1. ✅ Sécurité pour débutants
Parcourez des articles introductifs comme « 30 Mots pour se familiariser avec le jargon informatique » ou « Le démarchage téléphonique… comment s’en protéger », parfaits pour acquérir les bases. (evoluesecure.com)
2. 📱 Astuces pratiques & bons réflexes
Des billets comme « Pourquoi utiliser ProtonMail ? » ou la mise en garde contre les escroqueries à la livraison de colis via SMS répondent à des préoccupations concrètes du quotidien numérique. (evoluesecure.com)
3. 🛡 Sensibilisation aux menaces
Des thématiques comme les ransomwares et la sécurité des sauvegardes sont abordées avec pédagogie pour aider les lecteurs à anticiper et se prémunir contre ces risques sérieux. (evoluesecure.com)
4. 💡 Formations et accompagnement
EvolueSecure propose également un volet formation (via formulaire), invitant les lecteurs à s’engager et approfondir leurs compétences en sécurité. (evoluesecure.com)
🎯 Pourquoi ce blog fait la différence
– Une approche progressive, qui accompagne les plus novices sans jargon excessif
– Un ton convivial et humain, avec des anecdotes, des quiz et de vraies réponses à des problèmes actuels
– Un souci de praticité, avec des conseils immédiatement applicables
– Une pédagogie mixte : articles, quiz, formations—pour s’initier ou approfondir en fonction de son rythme
🎉 Qui devrait le lire ?
Les personnes débutantes souhaitant comprendre la sécurité numérique
Les internautes curieux désireux de renforcer la protection de leurs données
Les amateur·rice·s de nouvelles technologies, intéressé·e·s par les enjeux contemporains de cybersécurité
🚀 En résumé
EvolueSecure est bien plus qu’un simple blog technique : c’est un compagnon de route pour qui souhaite naviguer sereinement dans un monde numérique de plus en plus complexe. Accessible, concret et structuré, il donne envie d’apprendre — un peu, beaucoup, ou sérieusement selon vos objectifs.
💡 Prêt à vous lancer ?
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Il y a des métaphores qui marquent, parce qu’elles nous renvoient à ce qu’on vit sans toujours oser le dire. En ce moment, dans mes discussions avec des collègues, amis ou entrepreneurs, deux images reviennent souvent. L’une respire l’épuisement, l’autre l’absurde efficacité. Je les appelle : le hamster et le couteau suisse.
Hamster ou couteau suisse ?
Le hamster, c’est celui ou celle qui pédale dans sa roue sans fin. Fatigue dans le regard, sourire en coin : « J’avance, mais je ne vois plus pourquoi. » Tout semble tourner, sans jamais s’arrêter.
Le couteau suisse, lui, est multitâche. Utile, disponible, toujours prêt. Trop prêt. Il ou elle fait tout. Même l’ingrat. Avec un soupir résigné : « Je n’ai pas le choix. »
Derrière ces deux figures, une même réalité : la contrainte. On ne vit plus, on s’adapte. On n’avance plus pour construire, on court pour ne pas tomber.
Et on s’épuise.
La fausse sécurité de l’hyperactivité
On pourrait croire qu’être dans l’action permanente, c’est rassurant. Être utile, c’est gratifiant, non ? Mais cette course effrénée cache souvent un vide : plus de repères, plus de vraie direction, juste un besoin de rester en mouvement pour ne pas penser. On remplit l’agenda, mais pas le cœur.
Le hamster fuit le vide. Le couteau suisse veut prouver qu’il mérite sa place.
Les deux sont prisonniers d’un système où le sens se dissout dans la productivité. Et dans ce système, on oublie une chose essentielle : nous ne sommes pas des fonctions, mais des êtres humains.
Se reconnecter à soi : la révolution silencieuse
Bonne nouvelle : il existe une porte de sortie. Pas dans un changement radical ou une retraite à Bali, mais dans un geste simple : s’arrêter.
Prendre du recul, c’est reprendre les commandes. C’est interroger : Qu’est-ce que je veux vraiment ? Où est ma place ? Et surtout : Qu’est-ce que je choisis de ne plus faire ?
Le vrai luxe aujourd’hui, ce n’est pas d’avoir du temps, c’est d’avoir un projet personnel.
Pas besoin qu’il soit énorme. Il peut commencer par une question : Qu’est-ce que j’aimerais vivre de plus vrai cette semaine ? Un moment sans écran, une balade, une conversation profonde, une sieste. Ce n’est pas futile. C’est vital.
De la “to do list” à la “to be list”
On nous pousse à faire. Toujours plus. Et si, pour une fois, on se demandait : Qui ai-je envie d’être ?
👉 Moins de choses à cocher. 👉 Plus d’états à incarner : être présent, être libre, être en paix.
Ce petit shift change tout. Il ne résout pas tout, mais il redonne du souffle. Il permet de sortir de la position d’objet (pris dans les projets des autres) pour devenir sujet (acteur de son propre chemin).
En conclusion : respectez votre rythme
Le hamster peut tomber en dépression s’il ne peut plus courir. Le couteau suisse peut se blesser s’il est mal utilisé. Aucun des deux ne peut continuer indéfiniment sans casse.
Alors, ralentis. Prends une heure. Une journée. Une respiration. Autorise-toi ce « voyage intérieur » dont parle Christophe André, cette reconnexion douce à ce qui t’habite vraiment.
Et rappelle-toi : tu n’as rien à prouver. Tu as simplement à être.
Renouée du Japon(Polygonum cuspidatum) – Plante invasive riche en resvératrol, intégrée au protocole Buhner. Elle est réputée antispirochète (anti-Borrelia) de premier plan et anti-inflammatoire, tout en favorisant l’élimination des toxines (9 Plantes à connaitre si vous souffrez de la maladie de Lyme – SociaLyme). Ses racines sont antioxydantes et protègeraient les tissus (articulations, système nerveux). La renouée aide ainsi à traiter l’arthrite de Lyme et à prévenir les dommages des cytokines inflammatoires (Mes 5 plantes médicinales préférées pour la maladie de Lyme – Anne Vastel).
Armoise annuelle(Artemisia annua) – Utilisée en médecine chinoise contre le paludisme, elle a montré une activité notable contre Borrelia. En laboratoire, un extrait d’Artemisia à 0,5% a surpassé la doxycycline pour tuer la bactérie (Maladie de Lyme – Une plante éradique la bactérie à l’origine de la maladie- Plantes et Santé). On la dit aussi utile contre les co-infections parasitaires (Babesia) et pour ses propriétés antioxydantes.
Noyer noir(Juglans nigra) – Le brou de noix noire est un antiparasitaire traditionnel. Des tests récents indiquent qu’un extrait de noyer noir à 1% élimine presque totalement Borrelia en culture (Maladie de Lyme – Une plante éradique la bactérie à l’origine de la maladie- Plantes et Santé). Il possède des composés juglone et tanins aux effets antibactériens, antifongiques et vermifuges. On l’utilise dans certains protocoles pour cibler les formes kystiques de la bactérie et d’éventuels co-parasites intestinaux.
Scutellaire du Baïkal(Scutellaria baicalensis) – Plante de la pharmacopée chinoise (Huang Qin), riche en baicaline. Elle figure parmi les extraits les plus efficaces contre Borrelia in vitro (Maladie de Lyme – Une plante éradique la bactérie à l’origine de la maladie- Plantes et Santé). La scutellaire est à la fois antibactérienne et anti-inflammatoire neuroprotectrice, ce qui la rend intéressante pour la neuroborréliose et les inflammations du système nerveux central.
Griffe du chat(Uncaria tomentosa, aussi nommée « Cat’s claw » ou samento) – Liane amazonienne intégrée aux protocoles Buhner et Cowden. Elle possède de multiples propriétés : immunostimulante, anti-inflammatoire, antioxydante et analgésique (9 Plantes à connaitre si vous souffrez de la maladie de Lyme – SociaLyme). Des praticiens la prescrivent pour renforcer l’action des antibiotiques et cibler Borrelia (des études en éprouvette la classent parmi les plantes actives contre la bactérie) (Maladie de Lyme : quels sont les traitements naturels ? | Santé Magazine). La griffe du chat aiderait aussi à moduler la réponse immunitaire et à atténuer la fatigue.
Épine-vinette(Berberis vulgaris, source de berbérine) – Arbuste dont l’écorce et la racine fournissent la berbérine, alcaloïde à large spectre antimicrobien. La berbérine est active contre les bactéries, virus, champignons (ex. Candida) et parasites (9 Plantes à connaitre si vous souffrez de la maladie de Lyme – SociaLyme). On l’emploie pour « nettoyer » le microbiote intestinal perturbé par Lyme : elle rééquilibre la flore et améliore l’état intestinal (9 Plantes à connaitre si vous souffrez de la maladie de Lyme – SociaLyme). C’est aussi un anti-inflammatoire intestinal et un soutien en cas d’arthrite ou d’infections chroniques.
Ail(Allium sativum) – Antibiotique naturel bien connu, l’ail est antibactérien, antifongique, antiparasitaire et antioxydant. Il renforce l’immunité et protège la flore. Dans la maladie de Lyme, l’ail est souvent recommandé en complément : son huile essentielle s’est révélée particulièrement puissante pour tuer les formes persistantes de Borrelia (L’huile essentielle de gousse d’ail est efficace pour combattre la maladie de Lyme – ladepeche.fr). En usage quotidien, l’ail peut contribuer à diminuer la charge microbienne et le stress oxydatif induit par l’infection.
Origan et Thym(Origanum vulgare et Thymus vulgaris) – Ces deux plantes aromatiques riches en huiles essentielles sont d’excellents antimicrobiens naturels. L’origan (carvacrol) et le thym (thymol) ont une action antibactérienne et antifongique reconnue, parfois comparée à celle de certains antibiotiques. Des thérapeutes les utilisent pour Lyme sous forme d’huiles essentielles ou d’infusions concentrées, afin de profiter de leur effet bactéricide puissant (Lyme chronique : bilan de mes années de pratique). NB : leur usage doit être prudent et encadré vu la puissance des huiles essentielles.
Ciste de Crète(Cistus incanus) – Plante méditerranéenne riche en polyphénols (utilisée en tisane par certains malades de Lyme). Le ciste a montré une activité anti-Borrelia notable : il fait partie des « 7 extraits naturels actifs » identifiés par des chercheurs de Johns Hopkins en 2020 (Maladie de Lyme : quels sont les traitements naturels ? | Santé Magazine). En plus de freiner la bactérie, il aurait des vertus immunomodulantes et astringentes bénéfiques (freine les inflammations, assèche les muqueuses en cas d’excès de mucus).
Plantes immunostimulantes et adaptogènes
Échinacée(Echinacea purpurea) – C’est une plante immunitaire majeure en herboristerie. Elle renforce les défenses naturelles en stimulant l’activité des globules blancs (9 Plantes à connaitre si vous souffrez de la maladie de Lyme – SociaLyme). Intéressante pour Lyme, l’échinacée aide à prévenir les infections opportunistes et à soutenir l’organisme affaibli. Elle possède aussi des propriétés anti-inflammatoires et sudorifiques (elle favorise la transpiration, utile pour éliminer les toxines) (9 Plantes à connaitre si vous souffrez de la maladie de Lyme – SociaLyme). On la prend généralement par cures discontinues (ex : 15 jours par mois) pour maintenir son efficacité.
Astragale(Astragalus membranaceus) – Racine employée en médecine chinoise et par certains naturopathes. Immunostimulante et antivirale, elle aide l’organisme à se défendre. L’astragale est surtout recommandée en prévention ou au début de l’infection de Lyme, car elle boosterait l’immunité innée et pourrait réduire le risque de contracter la maladie (Racine d’astragale – Lymeherbs) (Tout savoir sur la maladie de Lyme, symptômes, traitements). (Buhner conseille l’astragale en phase initiale, mais pas forcément en phase chronique avancée). Elle a aussi des effets adaptogènes modérés (soutien de l’énergie générale).
Ginseng de Sibérie(Eleutherococcus senticosus) – Un « faux » ginseng aux propriétés adaptogènes remarquables. Il aide le corps à gérer le stress et la fatigue chronique. L’éleuthérocoque est immunostimulant, hépatoprotecteur, anti-inflammatoire et tonifiant (9 Plantes à connaitre si vous souffrez de la maladie de Lyme – SociaLyme). Intégré au protocole Buhner, il vise à remonter l’énergie vitale des patients de Lyme, à améliorer leur résistance physique/mentale, et à soutenir le foie. Il est déconseillé en cas d’hypertension et on limite sa prise continue à 2–3 mois (9 Plantes à connaitre si vous souffrez de la maladie de Lyme – SociaLyme).
Champignons médicinaux (Reishi, Shiitake, Maitake, Cordyceps…) – Ces fongithérapies sont souvent associées aux traitements de Lyme pour stimuler l’immunité. Par exemple, le Reishi (Ganoderma lucidum) est réputé régulariser le système immunitaire (utilisé contre les infections chroniques et maladies auto-immunes) (Mes 5 plantes médicinales préférées pour la maladie de Lyme – Anne Vastel). Le Cordyceps fortifie en cas de fatigue profonde et possède des effets antiviraux. Le Shiitake et le Maitake stimulent l’immunité intestinale. En pratique, des extraits de ces champignons peuvent accroître la production de cytokines défensives et renforcer l’organisme affaibli (Maladie de Lyme – Les réponses naturelles – Alternative Santé).
Plantes anti-inflammatoires et antioxydantes (soulagement des symptômes)
Curcuma(Curcuma longa) – L’épice jaune est un anti-inflammatoire systémique reconnu. Son principe actif, la curcumine, réduit les inflammations articulaires et neurologiques liées à Lyme. On recommande le curcuma pour atténuer douleurs et raideurs : il agit de façon comparable à un AINS léger, sans les effets secondaires. Pris avec du poivre noir et un corps gras, il améliore le confort des patients atteints d’arthrite de Lyme (Maladie de Lyme – Les réponses naturelles – Alternative Santé).
Boswellia(Boswellia serrata) – La résine d’encens indien est utilisée pour ses acides boswelliques aux propriétés anti-inflammatoires puissantes. Buhner la conseille pour les douleurs articulaires de Lyme (Boswellia serrata – Lymeherbs). Le boswellia diminue les gonflements et l’inflammation chronique aussi efficacement que certains AINS, tout en protégeant la muqueuse digestive (Maladie de Lyme – Les réponses naturelles – Alternative Santé). Des compléments de boswellia peuvent ainsi soulager les arthrites et faciliter la régénération des tissus irrités (intestins, articulations) (Maladie de Lyme – Les réponses naturelles – Alternative Santé).
Cannelle(Cinnamomum verum) – Épice aux propriétés anti-inflammatoires et antioxydantes. La cannelle est riche en composés phénoliques qui inhibent la production de molécules pro-inflammatoires. En phytothérapie de Lyme, on l’utilise en synergie avec d’autres épices pour réduire le « terrain inflammatoire » général (Maladie de Lyme – Les réponses naturelles – Alternative Santé). De plus, son huile essentielle a montré une puissante action anti-microbienne (active sur certaines formes de Borrelia et co-infections), ce qui en fait un adjuvant intéressant pour à la fois combattre la bactérie et calmer l’inflammation.
Gingembre(Zingiber officinale) – Racine épice aux multiples bienfaits : anti-inflammatoire, antioxydant, digestif. Le gingembre peut aider à soulager les douleurs musculaires et articulaires (effet anti-inflammatoire doux similaire à l’aspirine) (Maladie de Lyme – Les réponses naturelles – Alternative Santé). Il améliore également la circulation sanguine, ce qui peut favoriser l’apport des traitements aux tissus affectés. En outre, il soulage les nausées et maux de ventre fréquents dans Lyme (propriétés carminatives), et son huile essentielle a démontré une activité antibactérienne contre les formes persistantes de Borrelia (L’huile essentielle de gousse d’ail est efficace pour combattre la maladie de Lyme – ladepeche.fr).
Cassis(Ribes nigrum) – Remède de gemmothérapie très prisé pour son effet cortisone-like naturel. Les bourgeons de cassis sont anti-inflammatoires : ils freinent la production d’histamine et modulent l’immunité, ce qui apaise les symptômes articulaires, cutanés ou allergiques. On le retrouve dans des complexes pour Lyme aux côtés de l’échinacée et de l’astragale (Tout savoir sur la maladie de Lyme, symptômes, traitements). Le cassis aide ainsi à diminuer les douleurs et raideurs articulaires, la fatigue inflammatoire et les réactions excessives du système immunitaire, sans les inconvénients des corticoïdes de synthèse.
Harpagophytum(griffe du diable) – (Souvent cité par les malades pour les douleurs bien que moins présent dans les sources écrites). Cette racine d’Afrique australe est un antidouleur et anti-inflammatoire articulaire réputé. Elle peut être employée en cas d’arthrite de Lyme pour réduire les douleurs et améliorer la mobilité, en complément des traitements de fond. (À utiliser avec précaution si troubles gastriques).
Plantes drainantes et détoxifiantes (soutien du foie, reins, etc.)
Chardon-Marie(Silybum marianum) – Protecteur majeur du foie grâce à la silymarine. En contexte Lyme, le chardon-Marie préserve le foie des toxines de Borrelia et stimule sa régénération cellulaire (Herbiolys | Le saviez-vous ? Maladie de Lyme : 3 plantes pour lutter contre la borréliose). Il agit comme cholagogue (facilite l’élimination de la bile) et antioxydant. Son utilisation au long cours aide à prévenir ou atténuer les réactions d’Herxheimer en facilitant l’évacuation des déchets inflammatoires (9 Plantes à connaitre si vous souffrez de la maladie de Lyme – SociaLyme). C’est une plante clé pour soutenir l’émonctoire hépatique surmené par l’infection et les traitements.
Artichaut(Cynara scolymus) – Plante du foie par excellence, l’artichaut stimule la production de bile (effet cholérétique) et son évacuation (effet cholagogue) (9 Plantes à connaitre si vous souffrez de la maladie de Lyme – SociaLyme). Il est aussi diurétique. En clair, il favorise l’élimination des toxines à la fois par le foie (biliaire) et les reins (urines). On l’utilise en phytothérapie de Lyme pour « détoxiquer » l’organisme, surtout en cas de traitements lourds. Ses composés amers soulagent le foie engorgé, améliorent la digestion et peuvent diminuer les nausées et migraines liées à un foie saturé (9 Plantes à connaitre si vous souffrez de la maladie de Lyme – SociaLyme).
Desmodium(Desmodium adscendens) – Plante africaine hépatoprotectrice renommée (souvent utilisée dans les hépatites). En soutien de Lyme, le desmodium aide à régénérer le foie et améliorer ses fonctions d’élimination (Maladie de Lyme : quels sont les aides naturelles ? | Soriavie). Il favorise la dégradation des toxines et médicaments par le foie et protège les cellules hépatiques. On l’emploie en cure lors des traitements antibiotique ou en cas de foie fragile (enzymes hépatiques élevées) pour prévenir une hépatite médicamenteuse.
Camomille romaine(Chamaemelum nobile) – En plus de ses vertus calmantes, la petite camomille est dépurative et cholagogue. Elle figure parmi les plantes conseillées pour drainer le foie et la vésicule (Maladie de Lyme : quels sont les aides naturelles ? | Soriavie). La camomille romaine facilite la digestion, diminue les spasmes intestinaux et soutient indirectement l’immunité (via l’intestin). Son effet anti-inflammatoire aide aussi en cas de congestion du foie ou d’allergies (terrain fréquent chez les « Lymés »).
Romarin(Rosmarinus officinalis) – Tonique général et draineur du foie et des reins. Le romarin est hépatoprotecteur, cholérétique et diurétique, il stimule l’élimination des déchets métaboliques (Maladie de Lyme : quels sont les aides naturelles ? | Soriavie). Riche en antioxydants, il soutient aussi les défenses et atténue la fatigue cérébrale (brouillard mental). En cure, il peut améliorer la clairvoyance mentale des patients et contribuer à l’élimination de neurotoxines. Le romarin est souvent associé au chardon-Marie, pissenlit ou artichaut pour un effet « détox » global.
Bardane(Arctium lappa) – Grande plante dépurative de la tradition européenne. La racine de bardane draine les émonctoires et purifie le sang. En Lyme, on la retient surtout pour la peau et les articulations : elle aide à éliminer les déchets acides et toxines microbiennes qui encrassent ces tissus, réduisant ainsi l’inflammation cutanée (acné, éruptions) et articulaire. Christophe Bernard recommande la bardane en soutien des reins et du foie aux côtés du pissenlit et du romarin (Lyme chronique : bilan de mes années de pratique). C’est un allié de long terme pour assainir le terrain.
Extrait de pépins de pamplemousse – Ce désinfectant naturel, riche en bioflavonoïdes, est souvent proposé en début de traitement Lyme pour son action antibactérienne à large spectre. Le Pr. Perronne le cite comme produit dont les propriétés anti-infectieuses ont été démontrées en laboratoire (Maladie de Lyme : quels sont les traitements naturels ? | Santé Magazine). On le prend généralement en gouttes. N.B. : Une étude de 2020 a toutefois remis en question son efficacité directe contre Borrelia (Maladie de Lyme : quels sont les traitements naturels ? | Santé Magazine) – l’extrait de pépins de pamplemousse n’a pas inhibé la bactérie in vitro, ce qui suggère qu’il pourrait surtout agir en soutien (assainir le microbiote, empêcher les surinfections) plutôt qu’éliminer Lyme seul.
Stévia(Stevia rebaudiana) – Édulcorant naturel qui a fait parler de lui dans la communauté Lyme. Une étude in vitro de 2015 (Pr. Eva Sapi) avait suggéré qu’un extrait de stévia pouvait tuer les formes persistantes de Borrelia, ce qui a popularisé son usage chez certains malades (teintures de stévia prises en gouttes quotidiennes). Cependant, des tests plus rigoureux n’ont pas confirmé cet espoir : en 2020, la stévia s’est montrée inefficace pour éliminer Borrelia en culture (Maladie de Lyme : quels sont les traitements naturels ? | Santé Magazine). Malgré ce résultat, quelques personnes continuent de l’utiliser empiriquement, mais sans preuve solide, son intérêt semble limité comparé aux autres plantes citées.
Ginkgo biloba – Arbre médicinal aux feuilles vasodilatatrices et antioxydantes. Le ginkgo est mentionné par certains experts Lyme pour améliorer la microcirculation et la cognition des patients. Plus surprenant, il possède aussi des composés aux effets antibactériens documentés : le Pr. Perronne note que les feuilles de ginkgo ont montré une activité anti-infectieuse en laboratoire (Maladie de Lyme : quels sont les traitements naturels ? | Santé Magazine). En pratique, le ginkgo pourrait aider à mieux irriguer les tissus (cerveau, articulations) et à y acheminer les traitements, tout en protégeant contre le stress oxydatif induit par l’infection. Il se prend en extrait standardisé (EGb761) sur plusieurs mois pour en ressentir les bienfaits.
Protocoles d’extraits de plantes complexes – Enfin, il existe des protocoles commerciaux combinant plusieurs extraits végétaux qui sont fréquemment discutés sur Internet par les malades de Lyme. Par exemple, le protocole Cowden (gamme Nutramedix) utilise des teintures spécifiques comme Banderol (écorce d’Otoba parvifolia), Cumanda (écorce de Campsiandra), Enula (Inule), Samento (griffe du chat), Burbur (feuilles de Desmodium) etc., prises en rotation. De même, le protocole Byron White ou le protocole Zhang (médecin chinois) emploient des formules à base de multiples plantes et champignons. Ces approches cherchent à couvrir tous les aspects de la maladie (antimicrobien, immunité, détox) en combinant de nombreuses plantes à doses modérées. Leur efficacité varie selon les individus, mais ils témoignent de la richesse des pistes phytothérapeutiques explorées face à la maladie de Lyme.
Super projet de voyage ! Voici un itinéraire cohérent, optimisé géographiquement et par saisons pour profiter au mieux de chaque destination. On va alterner un peu entre plages, villes, nature et culture pour garder un bon équilibre.
🔥 PARCOURS RECOMMANDÉ (4 à 8 semaines selon ton rythme)
Étape 1 – Europe du Sud (début de printemps ou automne)
Azay-le-Rideau (France) – Découvre le château, un bijou de la Renaissance – idéal pour commencer en douceur.
Madrid (Espagne) – Enchaîne avec 2-3 jours de visite culturelle et tapas.
Barcelone (Espagne) – 2-3 jours pour la Sagrada Familia, la plage, les Ramblas.
Malaga (Espagne) – Détente au soleil, ambiance andalouse et musée Picasso.
Lanzarote (Canaries) – 4 à 5 jours de paysages volcaniques, plages et vin local. Accessible depuis l’Espagne facilement.
Corse (France) – Rando, plages et villages perchés. L’idéal pour terminer la phase « Méditerranée ».
Étape 2 – Croisière Antilles (début hiver ou fin d’automne)
Croisière cocktail aux Antilles – 1 à 2 semaines. Départ possible de Pointe-à-Pitre ou Fort-de-France. Visite de plusieurs îles, ambiance festive, rhum et farniente !
Étape 3 – Grand Nord (été ou fin printemps)
Harstad (Norvège) – Idéal entre mai et juillet pour les fjords et le soleil de minuit. Calme et nature à l’état pur.
Étape 4 – Asie (automne/hiver recommandé)
Vietnam Nord (Hanoï, Baie d’Halong, Sapa) – 5 à 7 jours. Parfait entre octobre et mars.
Séjour intime au Vietnam (4 jours) – Complément plus calme, peut-être dans le delta du Mékong ou un resort à Ninh Binh ?
Sri Lanka – Termine ton aventure avec ce joyau indien : temples, plages, plantations de thé. Compte 7 à 10 jours.
✈️ Itinéraire logique par vols
Europe (France/Espagne/Corse) → Vol vers Lanzarote → Vol vers Antilles (croisière) → Vol vers Harstad (via Oslo ou Tromsø) → Vol vers Vietnam (via Oslo ou Paris) → Vietnam puis Sri Lanka → Retour en France ou ailleurs
Anciennes portes des étoiles dispersées sur Terre, découvertes au début du 20e siècle sur divers continents.
Un artefact disparu, un mystère cosmique. En 1903, la porte étoile a été déterrée à Samarkand, en Ouzbékistan, pour disparaître sans laisser de trace. Couvert de sculptures en forme d’étoile et de symboles mystérieux, certains croyaient que c’était lié à l’astronomie ancienne, tandis que d’autres murmuraient des origines extraterrestres.
C’est avec une joie immense et un enthousiasme débordant que je vous invite à découvrir avec moi ce village à la beauté incomparable. Tonnerre, cette petite perle nichée dans le département de l’Yonne, en Bourgogne-Franche-Comté, est un véritable trésor où l’histoire se mêle à des paysages à couper le souffle. Et parmi ses merveilles, impossible de ne pas évoquer la Fosse Dionne, une source d’une beauté hypnotisante qui fascine les visiteurs depuis des siècles.
La Fosse Dionne, cette source karstique d’une couleur bleu profond, entourée d’un bassin circulaire d’une pureté envoûtante, semble tout droit sortie des pages d’un conte magique. Ce lieu est baigné d’une atmosphère presque mystique, qui nourrit des légendes anciennes et mystérieuses. Remaniée au XVIIIe siècle pour devenir un lavoir, la Fosse Dionne est une œuvre d’art alliant fonctionnalité et splendeur architecturale. Son eau, d’une clarté fascinante, surgit avec une constance incroyable à 12 degrés, pour alimenter ce bassin qui tourbillonne dans un spectacle de toute beauté.
C’est une source qui a toujours suscité l’émerveillement et les spéculations. On raconte que, dès l’époque des Celtes, ce lieu était vénéré comme sacré. Aujourd’hui encore, des explorations sous-marines révèlent un réseau souterrain complexe et mystérieux, encore largement inexploré, ajoutant au mystère de cet endroit envoûtant. Une fois la Fosse Dionne admirée, n’hésitez pas à flâner dans les ruelles pittoresques de Tonnerre, découvrir son église gothique Saint-Pierre et l’Hôtel-Dieu, un des plus anciens hôpitaux de France, datant du XIIIe siècle.
Tonnerre, avec sa Fosse Dionne, offre une immersion totale dans un univers où l’histoire, le mystère et la beauté naturelle s’entrelacent avec harmonie. C’est un lieu qui invite à la découverte, à la contemplation, et qui envoûte tous ceux qui s’y attardent. Si vous aimez les légendes, le patrimoine et les paysages hors du commun, Tonnerre est une escale incontournable en Bourgogne. La Fosse Dionne, merveille naturelle, continue de captiver et d’inspirer tous ceux qui ont la chance d’y poser les yeux.
Cette sphère géante en pierre de 60 tonnes a été découverte en Bosnie en 2016. Il semblerait qu’il y ait eu plus de 80 de ces sphères, mais la plupart ont été détruites lorsque des rumeurs ont commencé à circuler parmi les habitants, selon lesquelles de l’or était caché à l’intérieur.
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Aujourd’hui, il n’en reste plus que huit (bien qu’il y en ait probablement plus de cachées), la dernière étant la plus grande jamais trouvée. La couleur brune et rouge de la sphère peut indiquer une forte teneur en fer.
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Selon l’archéologue Semir Osmanagich, cette « sphère » a été fabriquée par une civilisation inconnue vivant dans la région il y a plus de 1 000 ans. D’autres archéologues ne sont pas d’accord. Selon d’autres spécialistes, il s’agit en fait d’une roche sphérique naturelle appelée concrétion. De nombreuses concrétions sont riches en fer et prennent donc un aspect rougeâtre.
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Il existe d’autres roches parfaitement sphériques dans le monde. Certaines, comme celles d’Amérique centrale, présentent des signes évidents de travail par l’homme et sont donc définitivement « artificielles ». D’autres sphères, comme celles trouvées en Bosnie ou en Nouvelle-Zélande, ne présentent aucun signe visible d’ »outils humains ». C’est pourquoi elles sont considérées comme étant d’origine naturelle. Mais en toute honnêteté, même les géologues ne sont pas en mesure d’expliquer comment un processus naturel peut conduire à la formation d’une « sphère parfaite ». La polémique continue donc. Naturelle ou artificielle ?
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Une chose est sûre. Avant le dernier dégel, la moitié de la mer Adriatique était une immense plaine, certainement habitée par l’homme. Il est donc naturel que sous la mer, ou sous des mètres de boue sur le continent, se trouvent les vestiges d’anciens établissements humains qui n’ont jamais été pris en compte. Quel niveau de civilisation avaient-ils atteint ?
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Homo Reloaded – L’histoire cachée des 75 000 dernières années
Ce n’est pas une rumeur ou une blague, c’est un fait. Les Égyptiens parlent encore l’ancienne langue égyptienne, métaphoriquement connue sous le nom de hiéroglyphes, bien que les hiéroglyphes soient un scénario et non une langue, et le vocabulaire de l’Égypte ancienne est devenu partie de leur dialecte familier, transmis de génération en génération.
Les mots que les Égyptiens parlent dans leur dialecte familier sont des mots anciens qui ont été utilisés par les pharaons de l’Égypte ancienne, où ils sont apparus pour la première fois dans un manuscrit officiel entre 3300 av. JC et 3200 av. JC, et ont été appelés hiéroglyphes parce qu’en grec ils signifient « inscription sacrée » et les symboles étaient utilisés en eux pour exprimer des vœux.
À l’époque des pharaons, les hiéroglyphes servaient à graver et décorer des textes religieux et sont restés une langue écrite commune jusqu’au 4ème siècle après JC, quand ils furent déchiffrés à l’aide de la découverte archéologique de la pierre de Rosette par le Français Champollion.
Les mots que les Égyptiens utilisent encore aujourd’hui sans savoir qu’ils ont d’anciennes origines égyptiennes sont nombreux et variés, comme « mm » qui signifie manger et manger. « Embu » signifie boire, et en Haute-Égypte on dit « Tah Yabui », et « Tah » vient de l’ancien mot égyptien « Etah », qui signifie tirer ou tirer, et « Rooh Tuff and Nuff est loin », et « Tah » est le son du crachat et « Naf » est le son de la muqueuse nasale.
Le mot « kakha » signifie saleté, le mot « tata tata » est dans les hiéroglyphes « pour marcher », et le mot coco, tiré du mot bobo, est le nom d’un démon égyptien utilisé pour effrayer les enfants.
Il existe des termes populaires comme le mot « shabab » dont l’origine est sab swaib, qui signifie la mesure d’un pied, et le mot « mudammes » signifie haricots cuits au four, et son origine remonte au mot hiéroglyphe « muttamus », qui signifie mûrir les grains en les enterrant dans la terre.
En saison hivernale, les Égyptiens disent : « Pluie, Rakhi, Rakhi », et le mot « Rakhi » est un hiéroglyphe qui signifie « bas ». Il y a d’autres mots qui circulent qui sont à l’origine des hiéroglyphes, comme le mot « . Nono, qui signifie nouveau-né, et « Mahkah », qui signifie « un vieil homme aux cheveux gris ». « Battah » signifie le frapper à la tête et faire une prise de sang.
Parmi les mots que les Égyptiens utilisent jusqu’à présent figurent le mot « Tansh », ce qui signifie qu’il n’a pas répondu, « Sitt », ce qui signifie femme, « Kham », ce qui signifie « Yama », ce qui signifie beaucoup « opprimés ». , ce qui signifie tristesse, « obsession » et « Dosha » signifie bruit et son fort, « Karkar » signifie beaucoup de rires et « Kani et Mani » signifie lait et miel dans les hiéroglyphes.
Imaginez un peuple niché dans les falaises de Bandiagara, au Mali, qui depuis des siècles déchiffre les mystères des cieux. Les Dogons, à la fois poètes et scientifiques, étonnent par leur maîtrise de l’astronomie, acquise bien avant l’invention des télescopes modernes. Leurs villages, perchés comme des nids d’aigles, sont les gardiens d’une tradition orale fascinante, où le ciel nocturne devient une toile riche en mythes et en connaissances scientifiques. Qui sont-ils ? Comment un peuple isolé a-t-il pu acquérir une telle précision astronomique ? Plongeons dans cet univers entre mythe et science.
Origines et territoire : un lien entre ciel et terre
Le peuple Dogon, composé d’environ 300 000 âmes, habite principalement l’escarpement de Bandiagara, un paysage spectaculaire inscrit au patrimoine mondial de l’UNESCO. Leur migration vers cette région remonte à plusieurs siècles, mais leur origine reste enveloppée de mystère. Certains chercheurs suggèrent des racines dans l’ancien empire égyptien, établant un lien possible avec les civilisations antiques fascinées par les étoiles.
Chaque village Dogon, comptant en moyenne 500 habitants, est une communauté où l’organisation sociale reflète une harmonie entre l’homme et la nature. Cette harmonie est également présente dans leur cosmologie, un système de croyances complexe liant l’univers visible et invisible.
Une cosmologie unique : les Nommo, messagers des cieux
Selon la tradition orale, les Dogons auraient reçu la visite d’êtres mystiques nommés Nommo. Ces créatures amphibies, venues du système stellaire Sirius, auraient transmis aux Dogons une connaissance avancée de l’astronomie, de la philosophie et de la spiritualité. Les Nommo sont décrits comme des êtres bienveillants, porteurs d’équilibre et d’harmonie.
Mais les Dogons ne se contentent pas de récits mystiques. Leur cosmologie regorge de symboles et de rituels qui traduisent une profonde compréhension de l’univers. Les masques rituels, par exemple, représentent souvent des concepts astronomiques, liant ainsi l’art et la science.
Sirius A et B : une précision scientifique stupéfiante
Ce qui intrigue le plus les scientifiques modernes, c’est la connaissance des Dogons concernant le système stellaire de Sirius. Ils décrivent Sirius A, l’étoile la plus brillante du ciel nocturne, et son étoile compagne, Sirius B, invisible à l’œil nu. Selon eux, Sirius B effectue une révolution autour de Sirius A en 50 ans. Cette information, confirmée par les astronomes grâce à des instruments modernes, était pourtant connue des Dogons depuis des siècles.
Comment un peuple sans technologie avancée a-t-il pu acquérir une telle précision ? Les théories abondent. Certains y voient la transmission d’une connaissance empirique à travers des millénaires, tandis que d’autres suggèrent des influences extérieures, voire extraterrestres. Quoi qu’il en soit, cette prouesse témoigne d’une observation minutieuse et d’une transmission orale exceptionnelle.
Une science intuitive et révélée
Outre Sirius, les Dogons possèdent une connaissance étonnante des mouvements planétaires, des cycles lunaires et des éclipses. Leur calendrier agricole repose sur des observations astronomiques précises, qui guident les semailles et les récoltes. Cette maîtrise des cycles naturels montre que leur science est à la fois pratique et spirituelle.
Leur savoir, transmis de génération en génération, repose sur une méthodologie complexe de mémorisation et de récitation. Les prêtres et les sages jouent un rôle central dans la préservation de cette connaissance, agissant comme des bibliothèques vivantes.
Entre mythologie et réalité : une symbiose fascinante
L’étude de la cosmologie Dogon soulève une question essentielle : où se situe la frontière entre mythe et réalité ? Leur vision du monde, bien que teintée de mysticisme, repose sur des faits vérifiables. Ce mélange de spiritualité et de science reflète une sagesse universelle, où le rationnel et l’irrationnel se complètent plutôt que de s’opposer.
Leur résilience culturelle est remarquable, car ils sont capables de préserver leur identité face à la modernité. Leur savoir n’est pas qu’une prouesse scientifique ; c’est une manière de définir leur place dans l’univers.
Une leçon pour notre époque
Dans un monde où la science et la technologie dominent, les Dogons nous rappellent l’importance de l’équilibre. Leur vision holistique de l’univers nous invite à réévaluer notre propre relation au cosmos. Leur histoire montre que la connaissance n’est pas l’apanage des instruments modernes ; elle peut naître de l’observation, de l’introspection et de la transmission orale.
Les Dogons, avec leur sagesse millénaire, incarnent une étoile qui continue de briller, non seulement dans le ciel nocturne mais aussi dans nos esprits. Leur histoire nous incite à lever les yeux vers les étoiles tout en gardant les pieds sur terre.
Conclusion : Une énigme à résonance universelle
Et si les Dogons n’étaient pas les seuls gardiens d’un tel savoir ? Leur histoire soulève une question fascinante : peut-on établir un parallèle entre eux et d’autres peuples mystérieux, comme ceux qui ont érigé les alignements mégalithiques de Carnac en Bretagne ? Là-bas, des milliers de pierres dressées semblent dialoguer avec le ciel, tout comme les récits Dogons connectent la terre et les étoiles.
Ces deux civilisations, séparées par des milliers de kilomètres et des contextes culturels très différents, auraient-elles puisé dans une source commune de connaissance ? Ou bien leur savoir astronomique, apparemment sans lien, témoigne-t-il d’une universalité des interrogations humaines face au cosmos ? Peut-être qu’en étudiant les pierres de Carnac et les mythes Dogons, nous découvrirons une histoire plus vaste, celle d’une humanité unie dans sa quête pour comprendre les mystères de l’univers.