C’est avec une joie immense et un enthousiasme débordant que je vous invite à découvrir avec moi ce village à la beauté incomparable. Tonnerre, cette petite perle nichée dans le département de l’Yonne, en Bourgogne-Franche-Comté, est un véritable trésor où l’histoire se mêle à des paysages à couper le souffle. Et parmi ses merveilles, impossible de ne pas évoquer la Fosse Dionne, une source d’une beauté hypnotisante qui fascine les visiteurs depuis des siècles.
La Fosse Dionne, cette source karstique d’une couleur bleu profond, entourée d’un bassin circulaire d’une pureté envoûtante, semble tout droit sortie des pages d’un conte magique. Ce lieu est baigné d’une atmosphère presque mystique, qui nourrit des légendes anciennes et mystérieuses. Remaniée au XVIIIe siècle pour devenir un lavoir, la Fosse Dionne est une œuvre d’art alliant fonctionnalité et splendeur architecturale. Son eau, d’une clarté fascinante, surgit avec une constance incroyable à 12 degrés, pour alimenter ce bassin qui tourbillonne dans un spectacle de toute beauté.
C’est une source qui a toujours suscité l’émerveillement et les spéculations. On raconte que, dès l’époque des Celtes, ce lieu était vénéré comme sacré. Aujourd’hui encore, des explorations sous-marines révèlent un réseau souterrain complexe et mystérieux, encore largement inexploré, ajoutant au mystère de cet endroit envoûtant. Une fois la Fosse Dionne admirée, n’hésitez pas à flâner dans les ruelles pittoresques de Tonnerre, découvrir son église gothique Saint-Pierre et l’Hôtel-Dieu, un des plus anciens hôpitaux de France, datant du XIIIe siècle.
Tonnerre, avec sa Fosse Dionne, offre une immersion totale dans un univers où l’histoire, le mystère et la beauté naturelle s’entrelacent avec harmonie. C’est un lieu qui invite à la découverte, à la contemplation, et qui envoûte tous ceux qui s’y attardent. Si vous aimez les légendes, le patrimoine et les paysages hors du commun, Tonnerre est une escale incontournable en Bourgogne. La Fosse Dionne, merveille naturelle, continue de captiver et d’inspirer tous ceux qui ont la chance d’y poser les yeux.
Cette sphère géante en pierre de 60 tonnes a été découverte en Bosnie en 2016. Il semblerait qu’il y ait eu plus de 80 de ces sphères, mais la plupart ont été détruites lorsque des rumeurs ont commencé à circuler parmi les habitants, selon lesquelles de l’or était caché à l’intérieur.
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Aujourd’hui, il n’en reste plus que huit (bien qu’il y en ait probablement plus de cachées), la dernière étant la plus grande jamais trouvée. La couleur brune et rouge de la sphère peut indiquer une forte teneur en fer.
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Selon l’archéologue Semir Osmanagich, cette « sphère » a été fabriquée par une civilisation inconnue vivant dans la région il y a plus de 1 000 ans. D’autres archéologues ne sont pas d’accord. Selon d’autres spécialistes, il s’agit en fait d’une roche sphérique naturelle appelée concrétion. De nombreuses concrétions sont riches en fer et prennent donc un aspect rougeâtre.
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Il existe d’autres roches parfaitement sphériques dans le monde. Certaines, comme celles d’Amérique centrale, présentent des signes évidents de travail par l’homme et sont donc définitivement « artificielles ». D’autres sphères, comme celles trouvées en Bosnie ou en Nouvelle-Zélande, ne présentent aucun signe visible d’ »outils humains ». C’est pourquoi elles sont considérées comme étant d’origine naturelle. Mais en toute honnêteté, même les géologues ne sont pas en mesure d’expliquer comment un processus naturel peut conduire à la formation d’une « sphère parfaite ». La polémique continue donc. Naturelle ou artificielle ?
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Une chose est sûre. Avant le dernier dégel, la moitié de la mer Adriatique était une immense plaine, certainement habitée par l’homme. Il est donc naturel que sous la mer, ou sous des mètres de boue sur le continent, se trouvent les vestiges d’anciens établissements humains qui n’ont jamais été pris en compte. Quel niveau de civilisation avaient-ils atteint ?
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Homo Reloaded – L’histoire cachée des 75 000 dernières années
Ce n’est pas une rumeur ou une blague, c’est un fait. Les Égyptiens parlent encore l’ancienne langue égyptienne, métaphoriquement connue sous le nom de hiéroglyphes, bien que les hiéroglyphes soient un scénario et non une langue, et le vocabulaire de l’Égypte ancienne est devenu partie de leur dialecte familier, transmis de génération en génération.
Les mots que les Égyptiens parlent dans leur dialecte familier sont des mots anciens qui ont été utilisés par les pharaons de l’Égypte ancienne, où ils sont apparus pour la première fois dans un manuscrit officiel entre 3300 av. JC et 3200 av. JC, et ont été appelés hiéroglyphes parce qu’en grec ils signifient « inscription sacrée » et les symboles étaient utilisés en eux pour exprimer des vœux.
À l’époque des pharaons, les hiéroglyphes servaient à graver et décorer des textes religieux et sont restés une langue écrite commune jusqu’au 4ème siècle après JC, quand ils furent déchiffrés à l’aide de la découverte archéologique de la pierre de Rosette par le Français Champollion.
Les mots que les Égyptiens utilisent encore aujourd’hui sans savoir qu’ils ont d’anciennes origines égyptiennes sont nombreux et variés, comme « mm » qui signifie manger et manger. « Embu » signifie boire, et en Haute-Égypte on dit « Tah Yabui », et « Tah » vient de l’ancien mot égyptien « Etah », qui signifie tirer ou tirer, et « Rooh Tuff and Nuff est loin », et « Tah » est le son du crachat et « Naf » est le son de la muqueuse nasale.
Le mot « kakha » signifie saleté, le mot « tata tata » est dans les hiéroglyphes « pour marcher », et le mot coco, tiré du mot bobo, est le nom d’un démon égyptien utilisé pour effrayer les enfants.
Il existe des termes populaires comme le mot « shabab » dont l’origine est sab swaib, qui signifie la mesure d’un pied, et le mot « mudammes » signifie haricots cuits au four, et son origine remonte au mot hiéroglyphe « muttamus », qui signifie mûrir les grains en les enterrant dans la terre.
En saison hivernale, les Égyptiens disent : « Pluie, Rakhi, Rakhi », et le mot « Rakhi » est un hiéroglyphe qui signifie « bas ». Il y a d’autres mots qui circulent qui sont à l’origine des hiéroglyphes, comme le mot « . Nono, qui signifie nouveau-né, et « Mahkah », qui signifie « un vieil homme aux cheveux gris ». « Battah » signifie le frapper à la tête et faire une prise de sang.
Parmi les mots que les Égyptiens utilisent jusqu’à présent figurent le mot « Tansh », ce qui signifie qu’il n’a pas répondu, « Sitt », ce qui signifie femme, « Kham », ce qui signifie « Yama », ce qui signifie beaucoup « opprimés ». , ce qui signifie tristesse, « obsession » et « Dosha » signifie bruit et son fort, « Karkar » signifie beaucoup de rires et « Kani et Mani » signifie lait et miel dans les hiéroglyphes.
Imaginez un peuple niché dans les falaises de Bandiagara, au Mali, qui depuis des siècles déchiffre les mystères des cieux. Les Dogons, à la fois poètes et scientifiques, étonnent par leur maîtrise de l’astronomie, acquise bien avant l’invention des télescopes modernes. Leurs villages, perchés comme des nids d’aigles, sont les gardiens d’une tradition orale fascinante, où le ciel nocturne devient une toile riche en mythes et en connaissances scientifiques. Qui sont-ils ? Comment un peuple isolé a-t-il pu acquérir une telle précision astronomique ? Plongeons dans cet univers entre mythe et science.
Origines et territoire : un lien entre ciel et terre
Le peuple Dogon, composé d’environ 300 000 âmes, habite principalement l’escarpement de Bandiagara, un paysage spectaculaire inscrit au patrimoine mondial de l’UNESCO. Leur migration vers cette région remonte à plusieurs siècles, mais leur origine reste enveloppée de mystère. Certains chercheurs suggèrent des racines dans l’ancien empire égyptien, établant un lien possible avec les civilisations antiques fascinées par les étoiles.
Chaque village Dogon, comptant en moyenne 500 habitants, est une communauté où l’organisation sociale reflète une harmonie entre l’homme et la nature. Cette harmonie est également présente dans leur cosmologie, un système de croyances complexe liant l’univers visible et invisible.
Une cosmologie unique : les Nommo, messagers des cieux
Selon la tradition orale, les Dogons auraient reçu la visite d’êtres mystiques nommés Nommo. Ces créatures amphibies, venues du système stellaire Sirius, auraient transmis aux Dogons une connaissance avancée de l’astronomie, de la philosophie et de la spiritualité. Les Nommo sont décrits comme des êtres bienveillants, porteurs d’équilibre et d’harmonie.
Mais les Dogons ne se contentent pas de récits mystiques. Leur cosmologie regorge de symboles et de rituels qui traduisent une profonde compréhension de l’univers. Les masques rituels, par exemple, représentent souvent des concepts astronomiques, liant ainsi l’art et la science.
Sirius A et B : une précision scientifique stupéfiante
Ce qui intrigue le plus les scientifiques modernes, c’est la connaissance des Dogons concernant le système stellaire de Sirius. Ils décrivent Sirius A, l’étoile la plus brillante du ciel nocturne, et son étoile compagne, Sirius B, invisible à l’œil nu. Selon eux, Sirius B effectue une révolution autour de Sirius A en 50 ans. Cette information, confirmée par les astronomes grâce à des instruments modernes, était pourtant connue des Dogons depuis des siècles.
Comment un peuple sans technologie avancée a-t-il pu acquérir une telle précision ? Les théories abondent. Certains y voient la transmission d’une connaissance empirique à travers des millénaires, tandis que d’autres suggèrent des influences extérieures, voire extraterrestres. Quoi qu’il en soit, cette prouesse témoigne d’une observation minutieuse et d’une transmission orale exceptionnelle.
Une science intuitive et révélée
Outre Sirius, les Dogons possèdent une connaissance étonnante des mouvements planétaires, des cycles lunaires et des éclipses. Leur calendrier agricole repose sur des observations astronomiques précises, qui guident les semailles et les récoltes. Cette maîtrise des cycles naturels montre que leur science est à la fois pratique et spirituelle.
Leur savoir, transmis de génération en génération, repose sur une méthodologie complexe de mémorisation et de récitation. Les prêtres et les sages jouent un rôle central dans la préservation de cette connaissance, agissant comme des bibliothèques vivantes.
Entre mythologie et réalité : une symbiose fascinante
L’étude de la cosmologie Dogon soulève une question essentielle : où se situe la frontière entre mythe et réalité ? Leur vision du monde, bien que teintée de mysticisme, repose sur des faits vérifiables. Ce mélange de spiritualité et de science reflète une sagesse universelle, où le rationnel et l’irrationnel se complètent plutôt que de s’opposer.
Leur résilience culturelle est remarquable, car ils sont capables de préserver leur identité face à la modernité. Leur savoir n’est pas qu’une prouesse scientifique ; c’est une manière de définir leur place dans l’univers.
Une leçon pour notre époque
Dans un monde où la science et la technologie dominent, les Dogons nous rappellent l’importance de l’équilibre. Leur vision holistique de l’univers nous invite à réévaluer notre propre relation au cosmos. Leur histoire montre que la connaissance n’est pas l’apanage des instruments modernes ; elle peut naître de l’observation, de l’introspection et de la transmission orale.
Les Dogons, avec leur sagesse millénaire, incarnent une étoile qui continue de briller, non seulement dans le ciel nocturne mais aussi dans nos esprits. Leur histoire nous incite à lever les yeux vers les étoiles tout en gardant les pieds sur terre.
Conclusion : Une énigme à résonance universelle
Et si les Dogons n’étaient pas les seuls gardiens d’un tel savoir ? Leur histoire soulève une question fascinante : peut-on établir un parallèle entre eux et d’autres peuples mystérieux, comme ceux qui ont érigé les alignements mégalithiques de Carnac en Bretagne ? Là-bas, des milliers de pierres dressées semblent dialoguer avec le ciel, tout comme les récits Dogons connectent la terre et les étoiles.
Ces deux civilisations, séparées par des milliers de kilomètres et des contextes culturels très différents, auraient-elles puisé dans une source commune de connaissance ? Ou bien leur savoir astronomique, apparemment sans lien, témoigne-t-il d’une universalité des interrogations humaines face au cosmos ? Peut-être qu’en étudiant les pierres de Carnac et les mythes Dogons, nous découvrirons une histoire plus vaste, celle d’une humanité unie dans sa quête pour comprendre les mystères de l’univers.