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  • Et si on pensait l’IA autrement ? Découvrez le blog qui bouscule les idées reçues

    ¿Cómo la IA puede revolucionar tus blogs? Descubre las mejores ...

    Envie de comprendre l’IA autrement ? Le blog l’intelligence artificielle autrement (co‑ia.fr), porté par Boris Lejude, est un véritable passe‑port pour explorer l’intelligence artificielle sous tous ses angles – pédagogie, éthique, géopolitique, agriculture durable, santé, histoire et même création artistique.


    🧭 Ce que vous y trouverez

    1. Des réflexions équilibrées et accessibles

    Plongez dans des articles comme « IA : eldorado ou catastrophe pour la formation ? », qui n’hésitent pas à questionner les promesses de l’IA dans l’éducation, au-delà de sa « lune de miel » (co-ia.fr).

    2. Des questions fondamentales

    Explorez des contenus riches tels que « L’IA a‑t‑elle une morale ? » ou « Quel est le véritable intérêt pour l’humanité ? », qui confrontent les implications éthiques et humaines de cette technologie (co-ia.fr).

    3. Un regard sur la géopolitique

    « L’intelligence artificielle redéfinit‑elle la géopolitique mondiale ? » décortique la manière dont l’IA façonne les rapports de force internationaux, entre technologies de surveillance, suprématie numérique et souveraineté stratégique .

    4. La dimension durable

    Découvrez le billet « L’IA : une révolution verte pour une agriculture durable ? », un excellent exemple de l’intersection entre innovation technologique et préservation écologique (co-ia.fr).

    5. Du divertissement… instructif !

    Avec des articles ludiques comme « Le lapin », où Boris questionne ChatGPT à propos d’un plat traditionnel (le civet), on illustre l’usage créatif et didactique de l’IA (co-ia.fr).

    6. Une vaste fresque historique

    La section Chronologie – Histoire retrace les grandes étapes de l’IA, de la conférence de Dartmouth (1956) à Deep Blue, en passant par ELIZA, WABOT, backpropagation ou les voitures autonomes de Stanford (co-ia.fr).


    Pourquoi vous y plonger ?

    • 🎯 Un équilibre rare entre vulgarisation pointue et analyse critique.
    • 🤩 Des angles variés : formation, éthique, diplomatie tech, art, vivre ensemble…
    • 👥 Un ton humain et accessible : articles clairs, anecdotes, discussion bienveillante.
    • 💡 Des pistes pour agir : adhérez au groupe WhatsApp pour échanger, partager ou débattre (co-ia.fr).

    Verdict

    Étudiant·e, professionnel·le, amateur·rice d’IA curieux·se ou simple citoyen·ne : vous repartirez du blog avec bien plus que des notions techniques. Vous aurez une vision élargie, enrichie et surtout interrogative de l’IA dans notre société.

    Alors, prêt·e à vous embarquer ? Visitez co‑ia.fr, laissez-vous surprendre, questionnez, dialoguez… et rejoignez la communauté d’esprits éclairés qui réfléchissent, ensemble, à ce que signifie vivre avec l’intelligence artificielle.

  • Plantes médicinales utiles contre la maladie de Lyme

    Plantes médicinales utiles contre la maladie de Lyme

    Plantes à action antibactérienne et antiparasitaire

    Plantes immunostimulantes et adaptogènes

    Plantes anti-inflammatoires et antioxydantes (soulagement des symptômes)

    • Curcuma (Curcuma longa) – L’épice jaune est un anti-inflammatoire systémique reconnu. Son principe actif, la curcumine, réduit les inflammations articulaires et neurologiques liées à Lyme. On recommande le curcuma pour atténuer douleurs et raideurs : il agit de façon comparable à un AINS léger, sans les effets secondaires. Pris avec du poivre noir et un corps gras, il améliore le confort des patients atteints d’arthrite de Lyme (Maladie de Lyme – Les réponses naturelles – Alternative Santé).
    • Boswellia (Boswellia serrata) – La résine d’encens indien est utilisée pour ses acides boswelliques aux propriétés anti-inflammatoires puissantes. Buhner la conseille pour les douleurs articulaires de Lyme (Boswellia serrata – Lymeherbs). Le boswellia diminue les gonflements et l’inflammation chronique aussi efficacement que certains AINS, tout en protégeant la muqueuse digestive (Maladie de Lyme – Les réponses naturelles – Alternative Santé). Des compléments de boswellia peuvent ainsi soulager les arthrites et faciliter la régénération des tissus irrités (intestins, articulations) (Maladie de Lyme – Les réponses naturelles – Alternative Santé).
    • Cannelle (Cinnamomum verum) – Épice aux propriétés anti-inflammatoires et antioxydantes. La cannelle est riche en composés phénoliques qui inhibent la production de molécules pro-inflammatoires. En phytothérapie de Lyme, on l’utilise en synergie avec d’autres épices pour réduire le « terrain inflammatoire » général (Maladie de Lyme – Les réponses naturelles – Alternative Santé). De plus, son huile essentielle a montré une puissante action anti-microbienne (active sur certaines formes de Borrelia et co-infections), ce qui en fait un adjuvant intéressant pour à la fois combattre la bactérie et calmer l’inflammation.
    • Gingembre (Zingiber officinale) – Racine épice aux multiples bienfaits : anti-inflammatoire, antioxydant, digestif. Le gingembre peut aider à soulager les douleurs musculaires et articulaires (effet anti-inflammatoire doux similaire à l’aspirine) (Maladie de Lyme – Les réponses naturelles – Alternative Santé). Il améliore également la circulation sanguine, ce qui peut favoriser l’apport des traitements aux tissus affectés. En outre, il soulage les nausées et maux de ventre fréquents dans Lyme (propriétés carminatives), et son huile essentielle a démontré une activité antibactérienne contre les formes persistantes de Borrelia (L’huile essentielle de gousse d’ail est efficace pour combattre la maladie de Lyme – ladepeche.fr).
    • Cassis (Ribes nigrum) – Remède de gemmothérapie très prisé pour son effet cortisone-like naturel. Les bourgeons de cassis sont anti-inflammatoires : ils freinent la production d’histamine et modulent l’immunité, ce qui apaise les symptômes articulaires, cutanés ou allergiques. On le retrouve dans des complexes pour Lyme aux côtés de l’échinacée et de l’astragale (Tout savoir sur la maladie de Lyme, symptômes, traitements). Le cassis aide ainsi à diminuer les douleurs et raideurs articulaires, la fatigue inflammatoire et les réactions excessives du système immunitaire, sans les inconvénients des corticoïdes de synthèse.
    • Harpagophytum (griffe du diable)(Souvent cité par les malades pour les douleurs bien que moins présent dans les sources écrites). Cette racine d’Afrique australe est un antidouleur et anti-inflammatoire articulaire réputé. Elle peut être employée en cas d’arthrite de Lyme pour réduire les douleurs et améliorer la mobilité, en complément des traitements de fond. (À utiliser avec précaution si troubles gastriques).

    Plantes drainantes et détoxifiantes (soutien du foie, reins, etc.)

    • Chardon-Marie (Silybum marianum) – Protecteur majeur du foie grâce à la silymarine. En contexte Lyme, le chardon-Marie préserve le foie des toxines de Borrelia et stimule sa régénération cellulaire (Herbiolys | Le saviez-vous ? Maladie de Lyme : 3 plantes pour lutter contre la borréliose). Il agit comme cholagogue (facilite l’élimination de la bile) et antioxydant. Son utilisation au long cours aide à prévenir ou atténuer les réactions d’Herxheimer en facilitant l’évacuation des déchets inflammatoires (9 Plantes à connaitre si vous souffrez de la maladie de Lyme – SociaLyme). C’est une plante clé pour soutenir l’émonctoire hépatique surmené par l’infection et les traitements.
    • Artichaut (Cynara scolymus) – Plante du foie par excellence, l’artichaut stimule la production de bile (effet cholérétique) et son évacuation (effet cholagogue) (9 Plantes à connaitre si vous souffrez de la maladie de Lyme – SociaLyme). Il est aussi diurétique. En clair, il favorise l’élimination des toxines à la fois par le foie (biliaire) et les reins (urines). On l’utilise en phytothérapie de Lyme pour « détoxiquer » l’organisme, surtout en cas de traitements lourds. Ses composés amers soulagent le foie engorgé, améliorent la digestion et peuvent diminuer les nausées et migraines liées à un foie saturé (9 Plantes à connaitre si vous souffrez de la maladie de Lyme – SociaLyme).
    • Pissenlit (Taraxacum officinale) – Excellent draineur hépatique et rénal. Sa racine amère stimule la sécrétion biliaire, régule le transit et augmente la diurèse (9 Plantes à connaitre si vous souffrez de la maladie de Lyme – SociaLyme). Cela aide à évacuer les toxines alimentaires, environnementales et infectieuses stockées dans l’organisme. En maladie de Lyme chronique, le pissenlit est précieux pour « décharger » un foie sursollicité et un intestin encrassé, avec une action douce bien tolérée même par les personnes très sensibles (Mes 5 plantes médicinales préférées pour la maladie de Lyme – Anne Vastel) (Mes 5 plantes médicinales préférées pour la maladie de Lyme – Anne Vastel). Il contribue ainsi à réduire le brouillard toxique responsable de la fatigue et des douleurs.
    • Desmodium (Desmodium adscendens) – Plante africaine hépatoprotectrice renommée (souvent utilisée dans les hépatites). En soutien de Lyme, le desmodium aide à régénérer le foie et améliorer ses fonctions d’élimination (Maladie de Lyme : quels sont les aides naturelles ? | Soriavie). Il favorise la dégradation des toxines et médicaments par le foie et protège les cellules hépatiques. On l’emploie en cure lors des traitements antibiotique ou en cas de foie fragile (enzymes hépatiques élevées) pour prévenir une hépatite médicamenteuse.
    • Camomille romaine (Chamaemelum nobile) – En plus de ses vertus calmantes, la petite camomille est dépurative et cholagogue. Elle figure parmi les plantes conseillées pour drainer le foie et la vésicule (Maladie de Lyme : quels sont les aides naturelles ? | Soriavie). La camomille romaine facilite la digestion, diminue les spasmes intestinaux et soutient indirectement l’immunité (via l’intestin). Son effet anti-inflammatoire aide aussi en cas de congestion du foie ou d’allergies (terrain fréquent chez les « Lymés »).
    • Romarin (Rosmarinus officinalis) – Tonique général et draineur du foie et des reins. Le romarin est hépatoprotecteur, cholérétique et diurétique, il stimule l’élimination des déchets métaboliques (Maladie de Lyme : quels sont les aides naturelles ? | Soriavie). Riche en antioxydants, il soutient aussi les défenses et atténue la fatigue cérébrale (brouillard mental). En cure, il peut améliorer la clairvoyance mentale des patients et contribuer à l’élimination de neurotoxines. Le romarin est souvent associé au chardon-Marie, pissenlit ou artichaut pour un effet « détox » global.
    • Bardane (Arctium lappa) – Grande plante dépurative de la tradition européenne. La racine de bardane draine les émonctoires et purifie le sang. En Lyme, on la retient surtout pour la peau et les articulations : elle aide à éliminer les déchets acides et toxines microbiennes qui encrassent ces tissus, réduisant ainsi l’inflammation cutanée (acné, éruptions) et articulaire. Christophe Bernard recommande la bardane en soutien des reins et du foie aux côtés du pissenlit et du romarin (Lyme chronique : bilan de mes années de pratique). C’est un allié de long terme pour assainir le terrain.
    • Ortie (Urtica dioica) – Plante sauvage nutritive et dépurative. Les feuilles d’ortie sont riches en minéraux et favorisent l’élimination rénale des déchets (Mes 5 plantes médicinales préférées pour la maladie de Lyme – Anne Vastel). En soutien de Lyme, l’ortie agit comme tonique des reins (premiers organes infectés par Borrelia via la circulation sanguine) (Mes 5 plantes médicinales préférées pour la maladie de Lyme – Anne Vastel). En protégeant les reins, on limite la dissémination de la bactérie et on aide à filtrer les toxines circulantes issues des bactéries détruites. L’ortie contribue ainsi à réduire les réactions d’Herxheimer en accélérant l’évacuation des toxines inflammatoires (Mes 5 plantes médicinales préférées pour la maladie de Lyme – Anne Vastel). De plus, sa richesse nutritive redonne de la vitalité aux organismes affaiblis.
    • Salsepareille (Smilax aspera) – Liane dépurative utilisée traditionnellement contre les maladies de peau et les rhumatismes. La salsepareille est un excellent draineur sanguin et lymphatique : diurétique, sudorifique, elle « nettoie » l’organisme en profondeur (9 Plantes à connaitre si vous souffrez de la maladie de Lyme – SociaLyme). Ses saponines stéroïdiques ont la capacité de lier et éliminer les endotoxines bactériennes dans l’intestin, empêchant leur passage dans le sang (9 Plantes à connaitre si vous souffrez de la maladie de Lyme – SociaLyme). On pense que grâce à cela, la salsepareille atténue les poussées inflammatoires et les Herxheimer en cas de Lyme (9 Plantes à connaitre si vous souffrez de la maladie de Lyme – SociaLyme). Elle aide aussi à soulager des symptômes auto-immuns (arthrite, psoriasis) déclenchés ou aggravés par la borréliose.

    Autres remèdes à base de plantes souvent cités

    • Extrait de pépins de pamplemousse – Ce désinfectant naturel, riche en bioflavonoïdes, est souvent proposé en début de traitement Lyme pour son action antibactérienne à large spectre. Le Pr. Perronne le cite comme produit dont les propriétés anti-infectieuses ont été démontrées en laboratoire (Maladie de Lyme : quels sont les traitements naturels ? | Santé Magazine). On le prend généralement en gouttes. N.B. : Une étude de 2020 a toutefois remis en question son efficacité directe contre Borrelia (Maladie de Lyme : quels sont les traitements naturels ? | Santé Magazine) – l’extrait de pépins de pamplemousse n’a pas inhibé la bactérie in vitro, ce qui suggère qu’il pourrait surtout agir en soutien (assainir le microbiote, empêcher les surinfections) plutôt qu’éliminer Lyme seul.
    • Stévia (Stevia rebaudiana) – Édulcorant naturel qui a fait parler de lui dans la communauté Lyme. Une étude in vitro de 2015 (Pr. Eva Sapi) avait suggéré qu’un extrait de stévia pouvait tuer les formes persistantes de Borrelia, ce qui a popularisé son usage chez certains malades (teintures de stévia prises en gouttes quotidiennes). Cependant, des tests plus rigoureux n’ont pas confirmé cet espoir : en 2020, la stévia s’est montrée inefficace pour éliminer Borrelia en culture (Maladie de Lyme : quels sont les traitements naturels ? | Santé Magazine). Malgré ce résultat, quelques personnes continuent de l’utiliser empiriquement, mais sans preuve solide, son intérêt semble limité comparé aux autres plantes citées.
    • Ginkgo biloba – Arbre médicinal aux feuilles vasodilatatrices et antioxydantes. Le ginkgo est mentionné par certains experts Lyme pour améliorer la microcirculation et la cognition des patients. Plus surprenant, il possède aussi des composés aux effets antibactériens documentés : le Pr. Perronne note que les feuilles de ginkgo ont montré une activité anti-infectieuse en laboratoire (Maladie de Lyme : quels sont les traitements naturels ? | Santé Magazine). En pratique, le ginkgo pourrait aider à mieux irriguer les tissus (cerveau, articulations) et à y acheminer les traitements, tout en protégeant contre le stress oxydatif induit par l’infection. Il se prend en extrait standardisé (EGb761) sur plusieurs mois pour en ressentir les bienfaits.
    • Protocoles d’extraits de plantes complexes – Enfin, il existe des protocoles commerciaux combinant plusieurs extraits végétaux qui sont fréquemment discutés sur Internet par les malades de Lyme. Par exemple, le protocole Cowden (gamme Nutramedix) utilise des teintures spécifiques comme Banderol (écorce d’Otoba parvifolia), Cumanda (écorce de Campsiandra), Enula (Inule), Samento (griffe du chat), Burbur (feuilles de Desmodium) etc., prises en rotation. De même, le protocole Byron White ou le protocole Zhang (médecin chinois) emploient des formules à base de multiples plantes et champignons. Ces approches cherchent à couvrir tous les aspects de la maladie (antimicrobien, immunité, détox) en combinant de nombreuses plantes à doses modérées. Leur efficacité varie selon les individus, mais ils témoignent de la richesse des pistes phytothérapeutiques explorées face à la maladie de Lyme.
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    Boris LEJUDE

  • Caramel Beurre Salé

    Caramel Beurre Salé

    Il vous faudra :

    • 200 g de sucre pour la base sucrée

    • 20 cl de crème liquide pour apporter une consistance onctueuse

    • 100 g de beurre demi-sel ou 100 g de beurre doux avec 2 bonnes pincées de sel pour le caractère salé

    • 1 cuillère à café de crème fraîche épaisse pour enrichir la texture

    Préparation :

    1 La préparation commence par une étape cruciale qui demande patience et attention : La caramélisation du sucre. Dans une casserole, versez les 200 g de sucre et laissez-les fondre complètement à feu très doux. Cette étape nécessite une surveillance constante pour éviter que le sucre ne brûle. Elle peut prendre un peu de temps, alors prenez votre mal en patience. Profitez-en pour vous préparer une tasse de thé ou lire quelques pages de votre livre préféré.

    2 Pendant que votre sucre se transforme lentement en un caramel doré, chauffez la crème liquide dans une autre casserole. Une fois que le sucre a complètement fondu et a pris une belle couleur caramel, retirez la casserole du feu et ajoutez prudemment la crème liquide chaude. Soyez prudent à cette étape : la rencontre entre le sucre chaud et la crème peut provoquer des éclaboussures. Armez-vous d’une cuillère en bois et remuez bien le mélange, puis remettez-le sur le feu pendant quelques minutes avant de l’éteindre.

    3 Maintenant que votre base de caramel est prête, ajoutez les morceaux de beurre mou tout en continuant à remuer pour assurer une intégration homogène. Enfin, terminez en ajoutant la crème fraîche épaisse pour rendre votre caramel encore plus onctueux.

    4 Versez ensuite la préparation dans un pot en verre et laissez-la refroidir à température ambiante. Une fois refroidi, vous pouvez le conserver au réfrigérateur.

  • Mines de sel de Wieliczka

    Mines de sel de Wieliczka

    Non loin de Cracovie, la Mine de sel de Wieliczka est l’un des sites les plus visités de Pologne. Cette cavité servant à l’extraction des dépôts salins a été exploitée durant 700 années, au cours desquelles on a creusé 26 puits et 9 millions de m³ d’excavations minières. Au total : 245 km de galeries sur 9 niveaux et avec une profondeur de 327 mètres, c’est plus que la Tour Eiffel ! Salles à thème, chapelles, cathédrale et musées, la mine de sel inscrite au Patrimoine mondial de l’UNESCO cache de nombreux trésors…

  • Le 9 Mars 2024 : c’est 40 ans jour pour jour la naissance du futuroscope

    Le 9 Mars 2024 : c’est 40 ans jour pour jour la naissance du futuroscope

    Le 9 mars 1984 : La toute première maquette du #Futuroscope est dévoilée !

    À l’initiative de René Monory, le Conseil général de la Vienne décidait fin 1983 de créer un « observatoire du futur », un équipement présentant au grand public les nouvelles techniques de l’information et de la communication.

    En janvier 1984, le département organise un concours d’architecture pour cet unique bâtiment baptisé « Futuroscope ». L’équipe associant les agences de Denis Laming et Bernard Salignat est retenue lauréate.

    Ce tout premier pavillon marque les esprits par sa géométrie porteuse d’un message fort : Une sphère blanche de 17 mètres de diamètre juchée sur une verrière inclinée, tel un soleil sur un horizon incliné, symbolisent un nouveau jour se levant sur un monde en mutation.

    Cette première maquette est présentée dans le bureau du président René Monory, comme en témoigne cette photo d’archive de La Nouvelle République.

    La première pierre du Pavillon du Futuroscope fut posée le 11 décembre 1984. Dans les mois et années suivantes, l’architecte Denis Laming poursuivra les études architecturales avec le développement d’un plus vaste « parc du futur » regroupant divers pavillons thématiques et une aire d’activités technologiques, qui évolueront lentement pour devenir le Parc du Futuroscope et la Technopole voisine.

    La suite, vous la connaissez…

    ❤️ Suivez-nous sur Instagram pour ne rien manquer de l’actu du Parc ! https://instagram.com/leforumdufuturo

  • Deep Time, une expérience hors du temps

    Deep Time, une expérience hors du temps

    La chaine Arte diffusera le documentaire « Deep Time, une expérience hors du temps » de Guy Beauché au sujet des premiers constats scientifiques de l’expédition de recherche Deep Time

    Ce film montre la méthodologie, les buts des recherches et quelques résultats préliminaires. C’est très sympa.

    Comme je l’ai dit dans mon dernier post, je tiens à remercier chaleureusement les personnes sans qui ce film n’aurait jamais existé, au premier rang desquels mes compagnons « hors du temps » dans la Grotte de Lombrives : Burel Arnaud, Johan Francois, Nicole Hueber, Damien Jemelgo, Emilie Kim-Foo, Marie-Caroline Lagache, Marina Lancon, François Mattens, Alexis Monseigny, Jérome Normand, Margaux Romand-Monnier, Kora Saccharin , Martin Smt, Tiphaine Vuarier.

    De manière incompréhensible, ces personnes ne sont pas citées au générique du film.

    Et je suis d’autant plus désolé pour Marina Lançon, Martin Saumet, Emilie Kim-Foo, Alexis Monseigny qui ont été à l’œuvre durant les 40 jours de l’expérience pour filmer notre vie hors du temps, et dont de nombreuses images sont dans le film. C’est du jamais vu de ne pas citer la provenance des images, qui n’ont pas été toute tournée par Guy Beauché, Matéo Beauché et Sylvain George qui ont fait un très beau travail à l’entrée et la sortie de l’expérience mais n’ont pas réalisé les images des 40 jours sous terre.

    Je tiens donc à dire toute ma gratitude pour leur présence et travail dans la grotte. Et à remercier aussi Mélusine Mallender Expedition qui a organisé le travail de tournage et est restée durant les 7 premiers jours pour cela.

    Cela n’enlève rien à la qualité du film, et j’espère que vous l’apprécierez mais la mention au générique des personnes ayant permis qu’un documentaire existe me paraît indispensable, et cela a été refusé (pour des histoires de longueur ) malgré nos demandes répétée.

    le film est également proposé en replay sur Arte.fr.

    📌 Deep Time, une expérience hors du temps, by Guy Beauché, Zed /Arte, 2023, 54′ :

    Pour aller plus loin, mon livre « Deep Time, 40 jours sous terre » aux éditions Robert Laffont est toujours disponible et le film « 40 jours au-delà du temps » qui raconte l’aventure humaine de cette expérience continue de tourner dans les festivals. Prochaines dates à ParisScience 29/10 à 17h, Mauzé le Mignon le 12/10 à 18h30 ou Bulle (ch) le 25/11 à 17h)

    📸 : Bruno Mazodier / Human Adaptation Institute

  • Voyage dans le temps : Une expérience unique au Musée automobile Reims-Champagne

    Voyage dans le temps : Une expérience unique au Musée automobile Reims-Champagne

    Lors de ma récente visite au Musée Automobile Reims-Champagne, j’ai été captivé par la richesse de sa collection. Avec plus de 160 voitures historiques, chaque modèle est un témoignage vibrant de l’évolution automobile. Les 90 motos exposées sont un hymne à l’ingéniosité mécanique.

    Les miniatures, voitures à pédales et plaques émaillées ajoutent une dimension ludique et éducative. Ce musée, géré par des passionnés, est un véritable trésor pour les amateurs d’automobiles et d’histoire. Chaque visite y est un voyage à travers le temps, offrant un aperçu fascinant du passé industriel. Pour les curieux et les passionnés, ce musée est une destination à ne pas manquer. Découvrez-en plus sur leur site ici.